L'énergéticien français, détenu à 100% par l'État, s'est lancé dans "une revue de portefeuille pour procéder à d'éventuelles cessions", alors qu'il va devoir investir 460 milliards d'euros en 15 ans. L'ouverture du capital d'Edison ou la vente des activités d'énergie renouvelable aux États-Unis sont à l'étude.