«Au début, on me traitait d’anti rom, puis de facho. Désormais, on s’en prend au simple fait que j’existe. C’est une banalisation de la haine contre les femmes», témoigne Sandra Impériale. →
«Au début, on me traitait d’anti rom, puis de facho. Désormais, on s’en prend au simple fait que j’existe. C’est une banalisation de la haine contre les femmes», témoigne Sandra Impériale. →