« C’est la pire des drogues, c’est une cata » : citadins ou ruraux, des consommateurs de cocaïne témoignent

De la consommation « festive » de Sophie*, 41 ans, à l’addiction dramatique de Julie et Mathieu, 29 ans, il y a un monde diront certains. Un pas, diront d’autres. Ces trois Nordistes témoignent de leur rapport à la cocaïne, avec un fil commun, sur lequel ils s’accordent : le caractère extrêmement addictif de cette drogue devenue « presque banale ».