Des “quelques dizaines” de fiches confidentielles du ministère français de l’Intérieur ont été dérobées par des pirates informatiques. Parmi elles, celles du Fichier des personnes recherchées (FPR) et du Traitement d’antécédents judiciaires (TAJ). Paris dément toutefois qu’ils auraient pu accéder aux données de 16 millions de personnes, contrairement à ce que les hackeurs affirment. Aucune rançon n’a été demandée et la sécurité des citoyens n’est pas mise en danger.