Dans une Coupe du monde aussi éclatée géographiquement que celle de 2026, chaque détail compte. Et pour l’équipe de France , encore plus depuis samedi avec la presque officialisation de Boston comme camp de base , un constat s’impose : terminer en tête du groupe I où figurent le Sénégal, la Norvège et un adversaire issu des barrages (Bolivie, Suriname ou Irak) change pas mal de choses, en termes de récupération, de déplacements et de gestion climatique. La configuration du tableau est limpide. Si les Bleus finissent premiers, leur phase finale s’organise dans un couloir relativement compact : New York pour les 16e (30 juin), Philadelphie pour les 8e (4 juillet), Boston pour les quarts (9 juillet), puis Dallas pour la demi-finale (14 juillet) avant un retour à New York pour l’éventuelle finale du 19 juillet.