La décision sur le sort des 210 milliards d’euros d’actifs russes gelés, que les chefs d’Etat européens doivent prendre, lors du sommet à Bruxelles qui se tient jeudi et vendredi, est déterminante. Un passage en force provoquerait une crise à l’issue incertaine. Mais ne pas utiliser ces avoirs serait encore plus dommageable.