Le gouvernement français a réaffirmé vendredi que Rachida Dati conservait “toute sa place” à la tête du ministère de la Culture, au lendemain de perquisitions menées dans le cadre d’une enquête la visant. Elle est soupçonnée d’avoir été notamment grassement rémunérée par GDF Suez (désormais Engie) alors qu’elle était députée européenne afin de soutenir les positions du géant énergétique à Bruxelles. Elle clame son innocence et maintient sa candidature pour les élections municipales à Paris de mars 2026.