Il assume d’en faire une « priorité ». La semaine dernière, le préfet du Val-de-Marne a pris un arrêté pour fermer administrativement durant six mois deux débits de boissons du département pour leurs liens avec le narcotrafic . Un troisième commerce avait déjà fait l’objet d’une telle mesure fin novembre. « Le message, derrière ces mesures, c’est qu’on veut taper le narcotrafic à tous les étages, à la fois au niveau le plus fin, celui des consommateurs, des dealers, mais aussi plus haut, chez les grossistes ou les répartiteurs », défend Étienne Stoskopf, le préfet, qui entend faire de la lutte contre le narcotrafic « un axe fort de la politique de sécurité dans le Val-de-Marne ».