Pour Armand Noutack II, le processus manque de transparence. Il affirme que « cette réélection serait intervenue dans un climat marqué par l’absence d’un véritable débat interne ». Selon ses observations, certains responsables auraient cédé « sous pression politique ou par calcul personnel, notamment par crainte de perdre une éventuelle investiture lors des prochaines échéances […]