Sans jamais se départir de sa tranquille assurance, le dirigeant chinois s’est imposé cette année devant Vladimir Poutine, qui a besoin de son soutien pour poursuivre la guerre en Ukraine, et Donald Trump, qui préfère réserver ses attaques à ses alliés européens, relève dans sa chronique Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».