En théorie, les logements privés; qui pourraient être impactés par une catastrophe industrielle dans la Vallée de la chimie, ont pu réaliser des travaux de protection pris en charge à 100 %, en suivant les prescriptions du Plan de prévention des risques technologiques. Dans les faits, seulement 51 % des 5477 logements impactés ont terminé leur chantier avec de fortes disparités selon les communes.