Exigeant des rendements à tout prix, l’industrialisation de l’agriculture après-guerre a porté un coup presque fatal aux nombreuses races locales de l’Hexagone. En Bretagne comme ailleurs, certaines n’ont pas dit leur dernier mot, sauvées par des paysans et des scientifiques passionnés. Aujourd’hui, la Bretagne compte quatorze races locales bien vivantes, dont les effectifs augmentent dans des élevages résilients.