Marrakech a longtemps conservé des manières alanguies : le temps s’arrêtait, la vie semblait s’écouler plus lentement, doucement, sans se presser. Aujourd’hui, la ville rouge accélère, s’agite, s’embrase la nuit. Elle fatigue autant qu’elle fascine. Et pourtant, on y retourne.

Marrakech a longtemps conservé des manières alanguies : le temps s’arrêtait, la vie semblait s’écouler plus lentement, doucement, sans se presser. Aujourd’hui, la ville rouge accélère, s’agite, s’embrase la nuit. Elle fatigue autant qu’elle fascine. Et pourtant, on y retourne.