En 1999, le nouveau laboratoire de l’école nationale vétérinaire de Nantes projetait de mener des expériences sur des chiens vivants, dans le cadre de recherches en thérapie génique. Une hérésie pour cette défenseuse des animaux, qui a écrit sa colère au préfet de Loire-Atlantique et au maire de Nantes, Jean-Marc Ayrault.