La conférence Intergouvernementale franco-luxembourgeoise n’a permis aucune avancée sur la compensation financière transfrontalière. La gauche meurthe-et-mosellane le regrette. Et la droite mosellane ne veut pas brusquer le riche voisin. Sans parler d’une même voix, nos élus ont peu de chance d’être entendus.