Une jeune namuroise a été violée à deux reprises dans la nuit du 20 décembre. Lorsqu’elle a voulu déposer plainte le lendemain matin, elle s’est retrouvée face à un commissariat de police fermé, inaccessible en raison d’une manifestation dans le centre-ville. “J’ai dit que j’avais été violée et que j’avais besoin d’aide. Ils m’ont répondu: ‘Revenez lundi, madame’”, a confié Louise (prénom d’emprunt) à nos confrères de RTL.