Les femmes vivant une complication de grossesse grave de type « placenta percreta » devaient, jusqu’à tout récemment, accoucher par césarienne et subir du même coup une hystérectomie. C’était avant qu’une équipe de gynécologues du CHU Sainte-Justine apprenne une technique « révolutionnaire » qui leur permet aujourd’hui de sauver l’utérus des patientes.