L’administration de la prison locale d’Ain Sebaa 1 a démenti les allégations selon lesquelles Saida El Alami aurait fait l’objet de torture et d’agression et serait en grève de la faim. Réagissant aux allégations relayées sur certains sites électroniques et des réseaux sociaux prétendant que la détenue aurait vu «ses vêtements et sa literie aspergés d’eau par l’une des fonctionnaires, ce qui l’aurait incitée à entamer une grève de la faim», l’administration affirme que la concernée n’a jamais présenté d’avis dans ce sens.