Plus d’un millier de femmes ont été agressées sexuellement dans la nuit du 31 décembre 2015 par des groupes d’hommes, pour la plupart originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, provoquant un débat sur la politique d’accueil des réfugiés. Dix ans après, les victimes considèrent qu’elles ont été instrumentalisées et restent, pour certaines, profondément marquées par cette soirée.