Dans un communiqué publié jeudi 28 août, des experts des droits de l’homme de l’Onu ont qualifié de « crime odieux » des informations faisant état de « disparitions forcées » de Palestiniens affamés en quête de nourriture dans des sites de distribution gérés par la Fondation humanitaire de Gaza. Cette dernière nie les faits, assurant qu’il n’y a « aucune preuve ».