Au début du mois d’août, cinq sites pornographiques avaient été mis en demeure par l’Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle et numérique. Risquant le déréférencement ou le blocage, ils ont tous pris des mesures de vérification d’âge, comme le demandait le gendarme français du numérique qui en a fait l’annonce ce jeudi 28 août.