Le vote de confiance, b. a.-ba démocratique

Depuis lundi, les commentaires fascinés déferlent en boucle sur le « suicide » politique en direct du Premier ministre. Son saut périlleux sans filet paraît relever de l’impensable : pourquoi solliciter un vote de confiance de l’Assemblée nationale quand on ne dispose d’aucune majorité certaine ou même probable, et alors que rien n’obligeait François Bayrou à risquer ainsi sa … Lire la suite