Le divorce entre l’Union européenne et la Géorgie est-il irrémédiable ? Le gouvernement géorgien, sous influence russe, a jusqu’à dimanche 31 août pour donner des gages sur la protection de l’État de droit à la Commission européenne. Mais Tbilissi a fait le choix d’ignorer Bruxelles, rendant le risque de sanctions plus réel que jamais. Le retour de visas courte durée entre l’Union européenne (UE) et la Géorgie, option favorisée par les pays membres, serait lourde de conséquences.