Décédé le 22 août 2025, Adaunis Kouamé Koffi, correcteur à Fraternité Matin, a été inhumé le 30 août dans son village natal, Akpessékro, dans le District autonome de Yamoussoukro.Pour manifester toute sa compassion et prendre sa part de deuil, la direction générale de Fraternité Matin a dépêché une délégation forte d’une dizaine de membres, conduite par le Responsable des Ressources humaines, Mathias Kouassi, pour le dernier voyage du collègue.Ainsi, c’est avec une vive émotion que la délégation a assisté à la levée du corps qui a eu lieu dans une morgue privée de Toumodi le 30 août, sur le coup de 10h30. Puis le cortège s’est ébranlé sur Akpessékro, à une dizaine de kilomètres de la capitale politique ivoirienne. 11 heures, lamentations, cris et chaudes larmes ont accueilli le cortège funèbre dans ce village d’un peu plus de 6000 âmes.Adaunis Kouamé étant "fêwa" (premier décès d’une lignée familiale), aucune cérémonie particulière ne lui est dédiée. Une dizaine de minutes ont donc suffi pour les civilités avec les délégations étrangères dans la cour familiale, puis direction le cimetière.Mathias Kouassi, le chef de la délégation, a, au nom du directeur général de Fraternité Matin, Serge Abdel Nouho, exprimé la compassion de l’entreprise. « Au nom de notre directeur général, M. Serge Abdel Nouho, je voudrais dire yako à la famille et au village », a soufflé M. Kouassi. Qui a, ensuite, remis une enveloppe symbolique à Koffi Yao Camille, l’oncle du défunt.Ce dernier a exprimé la reconnaissance de la famille à l’endroit du premier responsable du journal de service public et à la délégation.Ainsi s’est définitivement tournée la page d'Adaunis Kouamé Koffi, correcteur à Fraternité Matin, ex-enseignant de français dans un collège privé de Yopougon, connu pour son calme, sa bonhommie et son professionnalisme.Firmin NDri Bonfils