Un rapport remis ce mercredi 15 octobre évalue à près de deux milliards d’euros par an le coût pour les finances publiques des accords franco-algériens de 1968. Ses auteurs dénoncent un régime dérogatoire, jugé "complètement dévoyé", dont bénéficieraient encore les ressortissants algériens plus de cinquante ans après sa signature.