Soupçon d’emploi fictif au «Canard enchaîné»: les anciens patrons du journal relaxés
La compagne d’André Escaro, dessinateur historique du journal satirique, était rémunérée jusqu’à 5 600 euros par mois pour lui" "«souffler des idées». La justice a décidé la relaxe, estimant que rien ne venait prouver qu’elle n’avait pas travaillé.