L’ex-chef du gouvernement a défendu la construction des deux gazoducs et la nécessité pour son pays, qui s’apprêtait à sortir du nucléaire, de recourir au gaz russe. A l’époque incontesté, l’argument est jugé de façon plus critique aujourd’hui à l’aune de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022.