Pour la présidentielle au Bénin et au Cameroun, les opposants apprennent peu de la démocratie et finissent par être sanctionner par des fautes irréparables commises dans la stratégie politique. Faut-il parler d’amateurisme pour des initiés de la politique comme Yayi Boni et Maurice Kamto, qui se donnent toujours la malchance de se voir court-circuité par les juridictions compétentes.