«À la base, je n’aime pas la lecture.» L’homme est pourtant devenu l’un des plus assidus du Goncourt des détenus. Il le reconnaît sans détour : «Je me suis forcé à lire au début. Et maintenant, j’adore.» Sur les quinze œuvres de la sélection, il en a lu quatorze. Le livre d’Hélène Laurain, Tambora, ne fait pas ...