L'Assemblée nationale vient de voter la nationalisation des usines françaises de l'aciériste ArcelorMittal. Mais cette mesure, si elle venait à se confirmer au Sénat, pourrait provoquer la fermeture des sites industriels du groupe, craignent la majorité des syndicats. « La nationalisation serait une fausse solution », estime aussi la direction France du groupe.