Sa disparition éclair à Rennes, lors d’une visite encadrée, a laissé derrière lui une administration pénitentiaire embarrassée et des policiers sur les dents. Ont suivi treize jours d’une cavale nerveuse pour Emile Siegler, faite de véhicule volé, de fausses plaques et de planques multiples. Jusqu’à son interpellation, jeudi 27 novembre, à Nantes.