Justice. Pour la Cour de casstion, traiter son chef de « salopard » n’est pas une faute grave

Dans une décision rendue mi-novembre, la Cour de cassation estime que le terme de “salopard” adressé à son employeur ne constitue pas une faute grave. Bien que jugés « excessifs », les propos ne pouvaient pour autant pas conduire à la rupture anticipée du contrat de l’employé selon la cour.