«J’ai perdu énormément d’amis en alpinisme. On fait des repas et on est de moins en moins nombreux… On a une forme d’accoutumance à la mort en trouvant des systèmes de défense émotionnelle pour continuer notre passion», confie l’alpiniste Benjamin Védrines.

«J’ai perdu énormément d’amis en alpinisme. On fait des repas et on est de moins en moins nombreux… On a une forme d’accoutumance à la mort en trouvant des systèmes de défense émotionnelle pour continuer notre passion», confie l’alpiniste Benjamin Védrines.