La majorité des habitants se sont rangés derrière Vladimir Poutine. Dans les abribus, les piédestaux, les façades, les expositions... La culture de la guerre a tout envahi et ne laisse à aucun Russe un répit. L'idée d'une Russie agressée est omniprésente sur les médias pro-Kremlin, tandis que tous les autres ont été fermés. Des propos alarmistes sont portés par d'infatigables propagandistes. Toutes critiques de l'armée et du pouvoir sont désormais passibles de poursuite.