Depuis le placement de Brandt en redressement judiciaire, l’avenir de l’entreprise, qui appartient depuis 2014 au groupe algérien Cevital et réalise 260 millions d’euros de chiffre d’affaires, est plus qu’incertain. Face à ce constat, l’État s’est dit « prêt » à apporter cinq millions d’euros dans un projet de reprise en Scop du groupe d’électroménager.