Le tribunal des activités économiques n’a sélectionné aucun des projets de reprise de l’entreprise. Il n’a particulièrement pas retenu le dossier porté par les salariés, qui promettait de sauver 295 emplois sur 750 dans les deux sites de production de l’entreprise à Vendôme et Orléans, et soutenu par l’Etat.