Au conseil d'administration de la LFP, quatre candidats pour trois postes comme représentants de Ligue 1

Au conseil d'administration de la LFP, quatre candidats pour trois postes comme représentants de Ligue 1

Fabrice Bocquet, Loïc Féry, Waldemar Kita et Jean-Michel Roussier sont les quatre candidats validés ce vendredi par la LFP pour prendre les postes de représentants de Ligue 1 laissés vacants depuis la relégation en Ligue 2 de Reims et Montpellier et le départ de Jean-Pierre Rivère de l'OGC Nice le 11 juillet. Les trois élus seront désignés le 10 septembre.

Développement local : Gnadé Seblet Arcin, fils du Guemon  met la chefferie en mission

Développement local : Gnadé Seblet Arcin, fils du Guemon met la chefferie en mission

Après deux semaines de tournée dans la région du Guémon, l’opérateur économique Gnadé Seblet Arcin Maupassant, alias Gsam, a dressé le bilan de son engagement social et humanitaire lors d’une conférence de presse organisée à Cocody le 27 août 2025. Un retour au pays placé sous le signe de l’action concrète, loin des discours politiques traditionnels.Originaire du Guémon et de retour de la diaspora européenne, Gsam a décidé d’investir 100 millions de Fcfa de ses fonds propres pour impulser le développement local. Une enveloppe destinée notamment à la construction de la maison des chefs wê, symbole de l’identité culturelle de la région, ainsi qu’au financement de projets portés par les femmes et les jeunes (20 millions FCFA par entité).« On peut vivre longtemps en Europe, mais on n’oublie jamais d’où l’on vient. Et quand on revient, c’est pour partager ce qu’on a appris », a-t-il affirmé.Refusant toute posture électoraliste, Gsam insiste sur une approche centrée sur le développement humain. Pour lui, le véritable enjeu est d’améliorer les conditions de vie, pas simplement de faire du social.Sa tournée a débuté par une rencontre avec la chefferie locale, qu’il considère comme le socle de la cohésion communautaire : « La chefferie, c’est le cœur de notre histoire. Sans elle, rien ne peut tenir. »Il a ensuite échangé avec les jeunes et les femmes de la région, notamment à Bangolo, où les besoins exprimés étaient urgents et profonds. « Certains jeunes m’ont dit : “On a besoin d’usines, de travail, sinon on va continuer à voler.” Ce n’est pas juste du chômage. C’est une alerte sociale. »Gsam prévoit d’investir dans des secteurs clés comme l’agriculture, l’élevage, la technologie et la fintech, en mettant l’accent sur l’accompagnement, la formation et l’encadrement des porteurs de projets. « L’argent ne doit pas être distribué sans structure. Il faut que ces financements créent une valeur réelle. »Quant à une éventuelle ambition politique, il reste mesuré : « Vouloir améliorer la vie des gens, c’est déjà un acte politique. Mais je ne suis pas dans une logique électorale. Mon objectif, c’est l’impact, pas les postes. »Les 100 millions injectés dans cette première phase proviennent des activités entrepreneuriales de Gsam dans l’événementiel et les technologies au Royaume-Uni. Il espère que son action inspirera d'autres membres de la diaspora à suivre son exemple :« J’ai choisi d’agir d’abord, puis d’inviter d’autres à suivre. Le changement, ce n’est jamais l’œuvre d’un seul homme. »Au-delà de l’investissement financier, Gsam a également remis des médicaments essentiels, ainsi que du matériel médical (matelas, tensiomètres, fauteuils roulants) aux centres de santé visités au cours de sa tournée.

« IA arabe, HalalGPT, Chatbot islamique » : L’Arabie Saoudite lance sa propre IA

« IA arabe, HalalGPT, Chatbot islamique » : L’Arabie Saoudite lance sa propre IA

L’Arabie Saoudite s’engage officiellement dans la course mondiale de l’intelligence artificielle (IA) avec le lancement de son premier assistant conversationnel en langue arabe, « HUMAIN Chat ». Ce service, dévoilé fin août 2025, est conçu pour traiter et comprendre la langue arabe dans toutes ses nuances, en s’appuyant sur le modèle linguistique avancé ALLaM 34B. Il est d’abord disponible en Arabie Saoudite avant une expansion prévue vers d’autres pays arabophones.

Titre

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AVIS DE CONVOCATION DE L’ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRELe Président du Conseil d’Administration de la Poste de Côte d’Ivoire a l’honneur de faire connaître que l’Assemblée générale ordinaire relative aux comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2024, aura lieu le mercredi 03 Septembre 2025 à 10 heures, à la salle de conférences de la Direction Générale de la Poste-CI, sise à Treichville, Km4, Boulevard de Marseille.Ordre du jour :Présentation du rapport de gestion et du bilan de gouvernance du Conseil d’Administration sur la marche de la société au cours de l’année 2024 ;Présentation du rapport général sur les états financiers annuels et des rapports spéciaux des commissaires aux comptes au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2024 :Approbation des comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2024 ;Affectation du résultat de l’exercice clos le 31 décembre 2024 ;Approbation des rapports spéciaux des commissaires aux comptes ;Quitus aux Administrateurs de leur gestion et décharge aux Commissaires aux comptes de leur mission ;Adoption des résolutions.WOUADJA ESSAY

Avis de convocation de l’assemblée générale ordinaire

Avis de convocation de l’assemblée générale ordinaire

AVIS DE CONVOCATION DE L’ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRELe Président du Conseil d’Administration de la Poste de Côte d’Ivoire a l’honneur de faire connaître que l’Assemblée générale ordinaire relative aux comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2024, aura lieu le mercredi 03 Septembre 2025 à 10 heures, à la salle de conférences de la Direction Générale de la Poste-CI, sise à Treichville, Km4, Boulevard de Marseille.Ordre du jour :Présentation du rapport de gestion et du bilan de gouvernance du Conseil d’Administration sur la marche de la société au cours de l’année 2024 ;Présentation du rapport général sur les états financiers annuels et des rapports spéciaux des commissaires aux comptes au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2024 :Approbation des comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2024 ;Affectation du résultat de l’exercice clos le 31 décembre 2024 ;Approbation des rapports spéciaux des commissaires aux comptes ;Quitus aux Administrateurs de leur gestion et décharge aux Commissaires aux comptes de leur mission ;Adoption des résolutions.WOUADJA ESSAY

BURIDA : Un atelier pour sensibiliser producteurs et studios à l’importance du code ISRC

BURIDA : Un atelier pour sensibiliser producteurs et studios à l’importance du code ISRC

Le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA) a organisé, ce vendredi 29 août 2025, un atelier de formation à son siège d’Angré, autour du thème « L’importance du Code ISRC dans la production musicale ». Cette initiative a réuni producteurs et responsables de studios d’enregistrement, dans l’objectif de renforcer leurs capacités en matière de gestion des droits d’auteurs et droits voisins à l’ère du numérique.Un outil indispensable à l’ère digitaleAvec la montée en puissance de la distribution musicale en ligne, l’identification standardisée des enregistrements est devenue une nécessité. Le Code ISRC (International Standard Recording Code) permet de tracer chaque œuvre, d’assurer une répartition équitable des revenus générés et de lutter contre le piratage. Or, beaucoup d’acteurs de la filière ignorent encore son rôle et ses procédures d’intégration. « Les métadonnées, c’est comme l’extrait de naissance d’une oeuvre : sans elles, l’œuvre est invisible », a illustré M. Akpatou Serge, DGA du BURIDA, insistant sur l’importance de l’ISRC dans la traçabilité et la protection des droits.Une obligation légale pour les producteursAu cours des échanges, M. Ehouman Maxime, chef du département des affaires juridiques, a rappelé que l’intégration du code ISRC n’est pas facultative mais bien une obligation légale, conformément à la loi de 2016 sur les droits d’auteur. Son article 111 stipule que tout producteur doit s’assurer que les supports musicaux et audiovisuels comportent des informations claires et accessibles relatives aux titulaires de droits.Les manquements à cette exigence exposent les contrevenants à des sanctions civiles et pénales, allant de dommages et intérêts pour les victimes à des poursuites pour contrefaçon.Vers une meilleure gestion collective des droitsPour Traoré Moussa, chef de département à la direction de la documentation, l’ISRC représente « une véritable carte d’identité numérique » des œuvres. Son intégration systématique sécurise non seulement la filière musicale mais matérialise aussi le droit moral des auteurs, garantissant leur reconnaissance publique et leur rémunération.La "démonstration pratique et application" a été assuré par Adolphe Yacé, Enseignant-Chercheur en Musique et Musicologie, Auteur Compositeur - Consultant en Technologies du Son. Directeur de l’École Supérieure de Musique et de Danse à l’INSAAC. Il a allié présentations théoriques, cas pratiques et exercices, permettant ainsi aux participants d’acquérir les bases techniques. Et ce, pour obtenir un préfixe ISRC, l’intégrer aux métadonnées et gérer efficacement leurs catalogues.À travers cette initiative, le BURIDA entend responsabiliser davantage les acteurs de la filière. « Après cette étape de sensibilisation, la loi sera appliquée avec rigueur », a prévenu la direction, déterminée à garantir la transparence et l’équité dans l’exploitation des œuvres musicales en Côte d’Ivoire.L’atelier, structuré en plusieurs modules, a permis aux participants de découvrir l’historique et la structure du code ISRC, la procédure d’obtention d’un préfixe, ainsi que les méthodes techniques d’intégration dans les fichiers audio et vidéo. Des cas pratiques et des exercices d’attribution ont complété les exposés théoriques.Cet atelier fut l’occasion pour le Burida d’exhorter les producteurs et responsables de studios à s’approprier rapidement cet outil. Outil indispensable pour la visibilité et la valorisation de la création artistique ivoirienne sur les marchés locaux et internationaux.