Bouteilles en plastique, sachets alimentaires ou capsules métalliques se sont mués en tenues audacieuses et chatoyantes lors d’un “Trashion Show” mêlant art, militantisme et pédagogie.
Le premier tour du Bank of Utah Championship a été suspendu jeudi à cause du manque de luminosité. Antoine Rozner et Victor Perez ont pu terminer leur partie.
Samedi à Abu Dhabi, Ciryl Gane affrontera Tom Aspinall en main-event de l'UFC 321 pour décrocher la ceinture des poids lourds. Plus de deux ans après ses échecs aux portes du titre en 2022 et 2023, « Bon Gamin » a accepté de recevoir « L'Équipe » pour se confier sur cette troisième chance, celle qu'il espère enfin transformer en accomplissement, pour écrire l'histoire du MMA français.
Deux sujets dominent la Une des journaux ivoiriens parus ce vendredi 24 octobre 2025 : le message délivré par Laurent Gbagbo à la veille de la présidentielle d'octobre 2025, et la clôture carnavalesque de la campagne d’Alassane Ouattara, président sortant dont la candidature est toujours contestée par l’opposition.
« Don Mello président ». Le 23 octobre, dernier acte de la campagne présidentielle. De nombreux partisans mobilisés ont accueilli leur candidat par des chants et des acclamations nourries.Face à une foule rassemblée très tôt sur la Place « Les cocotiers » de Sikensi, Ahoua Don Mello a martelé son credo panafricaniste. Il a développé les 42 points d’un programme résolument axé sur la souveraineté nationale.Il a mis en relief sa promesse phare : l’industrialisation. « Tout ce que nous produisons ici sera transformé dans les usines que nous allons créer », a-t-il lancé, dénonçant l’influence des multinationales.Pour le candidat de « La Côte d’Ivoire souveraine », « Nos richesses doivent rester en Côte d’Ivoire ».Cette indépendance retrouvée, a-t-il affirmé, est nécessaire pour garantir « des soins, une éducation et une formation de qualité » aux Ivoiriens.Concluant son appel, il est revenu sur sa vision du libéralisme économique : « J’ai vu des pays dont l’économie était dominée par d’autres se libérer. J’ai vu faire, je sais faire ». Il a fait savoir que, pour les Ivoiriens, l’heure est au choix : la dépendance ou le salut.
Juste à la fin de la campagne de l’élection présidentielle d’octobre 2025, le Mouvement des Leaders pour une Côte d’Ivoire Prospère (MLPCI), rappelle que l’objectif premier n’est pas que ce scrutin et appelle les partis d’opposition à se mobiliser pour les élections législatives de décembre prochain.
À Yopougon, ce 23 octobre, Henriette Lagou, candidate à l’élection présidentielle de Côte d’Ivoire, est allée à la rencontre de ses partisans. Dans cette commune populaire d’Abidjan, ceux-ci appellent sa victoire de tous leurs vœux.
Le candidat du Rhdp, Alassane Ouattara, a communié, hier, à la Place de la République, au Plateau, avec de nombreux jeunes.Devant la foule en orange, il a dit vouloir parachever les chantiers de modernisation de la Côte d’Ivoire. Il a soutenu que depuis son arrivée à la magistrature suprême, le pays se porte bien : santé économique, sociale et infrastructures de qualité.Le tout renforcé par un climat de paix et de stabilité. « Votez pour ADO, c’est voter la paix, la prospérité, la stabilité », a-t-il déclaré. Il a invité les jeunes à porter leur choix sur lui. Cela, en vue de bâtir une grande nation. « Je vous demande d’aller voter massivement. Je compte sur vous », a-t-il indiqué.Le candidat du Rhdp a, en outre, rendu hommage à son équipe de campagne. Le maire de Bingerville, Youssouf Doumbia, l’a assuré de sa victoire à 85%, un taux exceptionnel, au soir du 25 octobre.
L’ancien stade de Bouaké a tremblé sous les clameurs. Une marée humaine, aux couleurs vert et blanc, a accueilli Jean-Louis Billon pour le meeting de clôture de sa campagne. Tout témoignait d’une mobilisation exemplaire à la hauteur du candidat du Congrès démocratique (Code). Plusieurs artistes de renom étaient de la partie.Face à cette foule conquise, Jean-Louis Billon s’est voulu rassurant. « Bouaké, c’est le centre de la Côte d’Ivoire. Après avoir fait tout le tour du pays, il était normal que je termine ici. Maintenant, la balle est au centre, le match peut commencer », a-t-il lancé. Il a souligné que « ce match, c’est le vieux lion contre le jeune lion ».Se présentant comme le symbole du renouveau, il a promis de redonner à la Côte d’Ivoire sa vitalité économique et sociale. « La première industrie du pays est née ici, à Bouaké. Je viens pour relancer l’industrialisation, pour bâtir une économie créatrice d’emplois décents », a-t-il insisté.Pour Jean-Louis Billon, les Ivoiriens veulent un changement. « Nous avons fait de grands investissements en infrastructures, mais nous avons oublié l’essentiel qui est le sort des populations », a-t-il regretté. Et d’ajouter : « Les soixante-quinze pour cent de nos concitoyens de 35 ans méritent des emplois, une éducation de qualité, des soins accessibles, un coût de la vie supportable ».Il a exhorté les électeurs à se mobiliser massivement pour le changement par le vote.ENVOYE SPECIAL A BOUAKE
A deux jours du scrutin présidentiel du 25 octobre, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a tenu, le 23 octobre 2025, au Plateau, une rencontre stratégique entre le chef de la mission et l’ensemble des observateurs déployés sur le territoire ivoirien.Placée sous la direction de Yemi Osinbajo, ancien vice-Président de la République fédérale du Nigeria et chef de la mission, cette rencontre visait à réaffirmer l’engagement de l’organisation régionale en faveur d’un processus électoral transparent, crédible et pacifique.La mission d’observation électorale de la Cedeao est composée de 187 observateurs : 15 de long terme, 150 de court terme et 22 jeunes observateurs. Leur mandat est de suivre, analyser et évaluer le déroulement du scrutin sur toute l’étendue du territoire ivoirien.**media[257691]**Cette mission entre dans le cadre du Protocole additionnel de 2001 sur la démocratie et la gouvernance qui consacre l’engagement des États membres à promouvoir la démocratie, l’État de droit et la bonne gouvernance. Prenant la parole lors de la cérémonie d’ouverture, Yemi Osinbajo a exprimé sa gratitude aux autorités ivoiriennes pour la confiance placée en lui et pour l’accueil réservé à la délégation régionale.**media[257693]**« Nous sommes réunis dans un pays connu pour son hospitalité et son attachement à la fraternité africaine. L’engagement de la région en faveur de la démocratie et de l’État de droit est louable et inspirant », a-t-il déclaré.L’ancien vice-Président nigérian a insisté sur la nécessité d’un processus électoral inclusif, pacifique et transparent. Il a rappelé que la crédibilité du scrutin dépend de la responsabilité collective de toutes les entités politiques, du gouvernement et des citoyens. Yemi Osinbajo a exhorté les observateurs à faire preuve d’objectivité et d’impartialité dans la collecte et la transmission des informations relatives au déroulement du vote.« Notre mandat est clair : observer, analyser et rapporter les faits avec précision et impartialité. Nous mènerons nos travaux avec intégrité, transparence et crédibilité », a-t-il souligné.Il a également salué la diversité et la compétence des membres de la mission qui regroupe des experts issus des missions d’observation électorale de la Cedeao et de l’Union africaine (Ua). « Notre équipe composite reflète notre engagement en faveur de l’inclusivité et de l’excellence dans l’organisation électorale », a-t-il ajouté.Pour sa part, S.E. Abdel-Fatau Musah, commissaire de la Cedeao aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité, a salué le rôle central de la Côte d’Ivoire dans la stabilité régionale. « L’engagement régional pour renforcer la démocratie, la paix et la sécurité demeure au cœur de notre action. La présence de nos observateurs traduit la solidarité et l’amitié entre les peuples de la sous-région », a-t-il soutenu.Le diplomate a également assuré que la Cedeao continuera de soutenir les institutions nationales dans leurs efforts pour garantir un scrutin libre, transparent et apaisé, contribuant ainsi à la consolidation de la démocratie en Afrique de l’Ouest.Au terme de la rencontre, les observateurs ont été invités à se déployer sur le terrain pour suivre les derniers préparatifs avant le vote, mais aussi à garantir une présence active le jour du scrutin et durant la phase post-électorale.La Cedeao réaffirme ainsi son rôle de garant régional des processus démocratiques, fidèle à sa vision d’une Afrique de l’Ouest unie, stable et gouvernée, dans le respect des principes démocratiques : « Nous portons une responsabilité solennelle, non seulement envers la Côte d’Ivoire, mais également envers tout le continent africain. Notre engagement est d’accompagner les peuples vers une démocratie forte, crédible et durable ».
La localité de Sorobango, à 20km de Bondoukou, à l’est de la Côte d’Ivoire, a abrité l’avant-dernier meeting de campagne de Henriette Lagou.Au-delà de la présentation de son offre politique et de sa volonté d’instaurer une paix durable en Côte d’Ivoire, elle a invité les populations à se rendre massivement aux urnes pour choisir leur futur Président.Elle les a exhortées à porter leur choix sur la meilleure candidate : Henriette Lagou, la candidate du Gp-Paix.Un spécimen du bulletin de vote en main, elle leur a expliqué comment voter : « Nous sommes cinq candidats. Je suis la 3e, si vous comptez de la gauche à la droite ou de la droite à la gauche ».La candidate centriste du Gp-Paix a fait remarquer que cette place sur le bulletin est plus que stratégique. « Dieu m’a placée au milieu pour que je puisse séparer ceux qui sont en palabres. Cela, afin que je puisse ramener définitivement la paix », a-t-elle souligné.Elle est longuement revenue sur la nécessité d’instaurer une paix définitive en Côte d’Ivoire. Après la ville aux mille mosquées, la candidate de la paix a mis le cap sur Abidjan.
Alors que les cours du brut poursuivent leur remontée hebdomadaire, le Fonds monétaire international recommande aux économies asiatiques de réduire leurs barrières commerciales pour faire face aux tensions géopolitiques et aux droits de douane américains.
« Je m’adresse à tous les Ivoiriens. Dieu est en train de nous appeler à tourner le dos à la violence et à aller massivement voter, le 25 octobre, pour récupérer le pouvoir qu’il est en train de nous donner », a déclaré, hier, Simone Ehivet Gbagbo, lors de son meeting de clôture à Krindjabo, département d’Aboisso.Selon celle que les militants appellent affectueusement « Oman la nation », refuser d’aller voter, c’est maintenir l’adversaire au pouvoir. « Moi, je ne veux pas un mandat de plus », a-t-elle précisé.Simone Gbagbo a fait savoir que le pays est à un moment historique. À l’en croire, les Ivoriens sont prêts à choisir celui qu’ils veulent au pouvoir. « Nos décisions et nos intérêts sont entre nos mains », a-t-elle martelé.C’est pourquoi elle appelle à un éveil des consciences. Car seule une participation au scrutin peut changer la destinée du pays.Pour terminer, elle a présenté son programme qui, pour elle, est le meilleur pour une Côte d’Ivoire retrouvée, développée, souveraine et industrialisée.ENVOYE SPECIAL A KRINDJABO
Le Salon des Industries Musicales d’Afrique Francophone (SIMA) dévoile ses partenaires stratégiques et le programme de sa seconde édition au BéninLe Salon des Industries Musicales d’Afrique Francophone franchit une nouvelle étape dans sa préparation. À moins d’un mois du salon, Mamby Diomande, le commissaire général a présenté officiellement son programme et ses partenaires institutionnels, stratégiques et médias lors d’une conférence de presse à Cotonou ce Vendredi 17 Octobre 2025.Cette deuxième édition confirme l’envergure panafricaine et internationale du SIMA. Placée sous le thème « Faire rayonner et financer les musiques d’Afrique francophone : du potentiel aux preuves », l’édition 2025 du SIMA se tiendra du 10 au 15 novembre 2025, à Cotonou (Bénin).Pour bâtir une édition à la hauteur des enjeux du secteur, le SIMA s’appuie sur un réseau solide de partenaires institutionnels, stratégiques et techniques. Les soutiens institutionnels incluent notamment le Ministère de la culture du Bénin à travers Bénin Tourisme et l’ADAC, le Ministère de la Culture et de la Francophonie de Côte d’Ivoire, l’Ambassade de France en Côte d’Ivoire, l’Ambassade de France au Bénin, la fondation BOAD et l’Institut français au Bénin à travers Création Africa.Pour cette deuxième édition, le SIMA 2025 s’appuie sur un écosystème d’excellence réunissant des partenaires internationaux de premier plan tels que Les Flammes, les GRAMMYS, la SACEM, Sony Music, Warner, Universal, Because Music et OneRPM. Ces institutions, labels et organisations emblématiques s’unissent pour placer la musique africaine francophone au cœur des dynamiques mondiales de création, de financement et d’exportation. À leurs côtés, des partenaires locaux d’envergure tels que le Centre culturel Eya, le Sofitel Bénin ou encore Gozem viennent ancrer l’événement dans le territoire béninois.Pour permettre au SIMA 2025 d’avoir une résonance locale, régionale mais aussi internationale et spécialisée, un large réseau de médias partenaires, parmi lesquels Canal+, TV5Monde, BET France, Africa24, Music In Africa et Nektar a été mobilisé.Cette deuxième édition du SIMA s’articulera autour de plusieurs volets : une première phase consacrée à une résidence artistique, grande nouveauté de cette édition, ainsi qu’à des masterclass; puis une seconde partie dédiée aux panels, rencontres B2B/B2G, sessions de networking et speed dating.Ces échanges aborderont les grandes thématiques au cœur de l’édition 2025 que sont le cadre légal et les politiques publiques nécessaires à la structuration du secteur, les mécanismes de financement de l’industrie musicale, les récompenses au sein des I CC, la place des médias dans le rayonnement et l’export des musiques africaines francophones, le développement d’une scène live compétitive et le rôle des gouvernements dans la consolidation d’un environnement favorable au secteur.En parallèle, des ateliers de certification et de standardisation seront organisés en partenariat avec des institutions internationales afin de renforcer la professionnalisation du secteur.Le SIMA 2025 s’adresse à l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur musicale : artistes, producteurs, managers, labels, promoteurs, plateformes numériques, institutions, médias, investisseurs, startups culturelles, mais aussi aux mélomanes et au grand public.« Le SIMA n’est pas un simple événement, c’est une plateforme de transformation. Nous appelons tous les acteurs publics, privés, culturels et économiques à se joindre à nous pour construire ce business model, une industrie musicale francophone forte, inclusive et durable », déclare Mamby Diomandé, Fondateur et Commissaire général du SIMA.Le SIMA 2025 ambitionne de marquer un tournant décisif pour l’industrie musicale en Afrique francophone. Avec plus de 7 000 participants attendus, l’événement se positionne comme un catalyseur de partenariats économiques, institutionnels et culturels, favorisant l’émergence de synergies durables entre les acteurs africains et internationaux. Au-delà du rendez-vous, le SIMA entend laisser une économie musicale structurée, compétitive et porteuse d’avenir comme héritage pour le continent.Participez au SIMA 2025 en vous inscrivant dès à présent à travers ce lien :https://www.simaonline.net/À propos du SIMACréé et initié par des experts de l’industrie musicale, le Salon des Industries Musicales d’Afrique Francophone (SIMA) promeut l’industrie musicale africaine, forme les acteurs de cet écosystème et offre une plateforme d’affaires entre les acteurs africains et ceux des autres continents.Le SIMA, véritable « miroir » de l’industrie musicale africaine, propose aux acteurs de l’écosystème des rencontres avec de potentiels clients ou partenaires, la valorisation de leurs offres et services, mais surtout la possibilité d’approfondir leurs connaissances et les logiques business du marché africain et international.Contacts presse : Saran Kaba Wagué : +229 97 70 26 22 / skw@concerto-pr.comOlga Akin-Dina : +229 97 97 12 27 ; +225 05 95 69 24 75 / oa@concerto-pr.com
Accessoire désormais incontournable du runner, la flasque souple présente la particularité de donner un goût de plastique à l'eau. Faut-il s'en inquiéter ?