Urgent - Présidence Ligue de Football Amateur: Thierno Kosso Diané largement élu face à Mbaye Diouf Dia et Iyane Thiam

Urgent - Présidence Ligue de Football Amateur: Thierno Kosso Diané largement élu face à Mbaye Diouf Dia et Iyane Thiam

La Ligue de Football Amateur (LFA) du Sénégal connaît désormais son nouveau dirigeant. Thierno Kosso Diané a été élu président à l’issue de l’assemblée générale élective tenue ce vendredi soir. Il a recueilli 234 voix, devançant nettement Mbaye Diouf Dia (167 voix) et Ousmane Iyane Thiam (65 voix), soit respectivement 49,68%, 35,46% et 13,8% des […]

Médinatoul Dieylani, la mosquée entre dans sa phase finale, Cheikh Ibrahima Dieylany perpétue l’héritage spirituel de son père (Photos)

Médinatoul Dieylani, la mosquée entre dans sa phase finale, Cheikh Ibrahima Dieylany perpétue l’héritage spirituel de son père (Photos)

À la tête de la prestigieuse cité religieuse de Médinatoul Dieylani, Maolana Cheikh Ibrahima ibn Cheikh Mouhyidin Abdul Karim Alpha Samba Diallo incarne une continuité spirituelle éclairée, mêlant fidélité à l’héritage de ses illustres prédécesseurs et engagement dans des actions concrètes au service de sa communauté. Parmi les grandes initiatives qu’il a entreprises figure en […]

Du soupçon au réel: Vérité sur l’immeuble du HCCT sous Tanor Dieng  (Par Babou Biram Faye )

Du soupçon au réel: Vérité sur l’immeuble du HCCT sous Tanor Dieng (Par Babou Biram Faye )

DU SOUPÇON  AU RÉEL Vérité sur l’immeuble du HCCT sous Tanor Dieng Par Babou Biram Faye Il faut parfois faire un pas de côté pour éviter les faux procès de l’Histoire. Depuis quelques heures, suite à une declaration du Président Bassirou Diomaye Faye, l’affaire de l’immeuble abritant le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) revient sur la place publique, avec à la clé des accusations à peine voilées visant l’ancienne équipe, et par ricochet, le défunt président de l’institution, Ousmane Tanor Dieng. À écouter certaines voix, l’État aurait été floué dans l’acquisition du siège du HCCT. On parle de surfacturation, d’opération trouble, voire de corruption. On insinue que 20 milliards auraient été jetés dans un immeuble acheté à la va-vite. C’est inexact. Et surtout, c’est injuste. Ce que le Président Diomaye Faye ignore (peut-être) Je suis tenté de croire que le Président Bassirou Diomaye Faye a été mal informé, sciemment ou non. Car, s’il avait eu tous les éléments, il aurait su que l’État n’a pas construit ce bâtiment. Ce sont des privés, à leurs frais, qui l’ont construit, aménagé et équipé, à la demande des autorités. L’État, lui, a engagé une procédure de location-vente, remboursée par mensualités, avec à la clé un contrat de cession-bail adossé à un prêt contracté auprès d'une banque de la place (Diamond Bank SA, d'aprés le député Guy Marius Sagna). C’est ce que l’on appelle, dans le langage de l’ingénierie financière, un lease-back,.selon les spécialistes. Un mécanisme moderne, souvent utilisé par les entreprises comme par les États pour acquérir un bien sans immobiliser immédiatement des milliards. Ce montage, au lieu d’être diabolisé, devrait être étudié dans les écoles de gestion publique. Petite chronologie pour couper court aux fantasmes Le référendum ayant donné naissance au HCCT a eu lieu en mars 2016. Les membres du Conseil ont été élus en fin d’année 2016. Le bâtiment, selon les informations exactes, a été loué dans un premier temps, puis acquis en 2018, à travers un plan de remboursement étalé. Où est donc le scandale ? Ceux qui parlent d’une acquisition en 2014 confondent les dates, ou cherchent volontairement à semer la confusion. L’inauguration du bâtiment n’a eu lieu qu’après le décès de Tanor en juillet 2019. Pourquoi ce montage ? Parce qu’il n’y avait aucune structure adéquate pour accueillir les travaux du HCCT. Les premières sessions se tenaient tantôt à la résidence Mamoune, tantôt à la Maison de la Presse. Des lieux peu adaptés pour une institution censée accueillir des délégations internationales et tenir des auditions de haute tenue. Le choix d’un siège digne s’imposait. Le promoteur, proche du Parti Socialiste, a accepté de céder ce bien à l’État à des conditions préférentielles, avec toutes les charges d’équipement à sa charge. Faut-il s’en plaindre ? Ou plutôt saluer un effort de patriotisme économique ? Ousmane Tanor Dieng, un homme de devoir Qu’on l’aime ou pas, Tanor n’a jamais trempé dans des affaires personnelles louches. Ceux qui l’ont approché de près le savent. Il était rigide sur les questions d’éthique. Et même dans ce projet, il n’a jamais tiré profit personnel de l’opération. Aucun compte caché, aucun enrichissement, aucun bien détourné. Il voulait simplement donner au HCCT un cadre institutionnel à la hauteur de ses ambitions. Ce que révèle cette polémique Elle révèle surtout une fracture entre deux générations de gouvernance : l’une, ancrée dans des pratiques classiques mais transparentes ; l’autre, avide de rupture mais parfois prompte à juger sans comprendre. Le Président Diomaye Faye gagnerait à prendre le temps d’écouter ses services, de recouper les faits, et surtout, de se méfier de ceux qui lui servent des boucs émissaires tout faits. Car le danger aujourd’hui, ce n’est pas tant l’héritage qu’on cherche à enterrer. C’est le manque de discernement. La vérité, rien que la vérité Non, le HCCT n’a pas été un gouffre financier. Non, le bâtiment n’a pas été acheté dans l’opacité. Non, Ousmane, Tanor Dieng ne s’est pas enrichi sur le dos de la République. Et oui, ce pays mérite mieux que des procès d’intention. Plutôt que de détruire, il est temps de bâtir sur des vérités établies, pas sur des ressentiments politiques. Dors bien yal mbine, Je ne soupçonne point !!! BBF www.dakaractu.com

Plan de redressement : l’écran d’ouverture suffisait à en saisir la teneur

Plan de redressement : l’écran d’ouverture suffisait à en saisir la teneur

Dans toute présentation stratégique, le premier visuel projeté est censé donner le ton, incarner la rigueur et instaurer la confiance. Cependant, le tout premier tableau présenté par le Premier ministre lors de l’annonce du Plan de redressement économique et social trahit tout l’inverse : une confusion profonde, un amateurisme manifeste et une légèreté inquiétante face à la responsabilité d’État. Ce tableau, censé illustrer un plan de redressement, aligne des fautes inadmissibles dans un document officiel. « Le transformation » au lieu de « la transformation », « Sénégl » au lieu de « Sénégal ». Une faute d’orthographe grossière, projetée en pleine diffusion nationale. Cela traduit un défaut manifeste de relecture professionnelle, de validation institutionnelle et de respect du public. Lorsqu’une présentation censée mobiliser une nation est aussi négligée dans sa forme, il devient difficile de croire en sa crédibilité sur le fond. Ce visuel maladroit est, en réalité, fidèle à l’ensemble de la présentation du Premier ministre. Il évoque des « réformes » dans la phase de redressement, en citant le dialogue national, les assises de la justice ou encore les États généraux sectoriels, alors qu’aucune loi n’a, à ce jour, été adoptée à l’issue de ces rencontres. Il mentionne le cabinet Mazars sans en présenter les conclusions, alors qu’il s’agit de l’audit le plus attendu par les bailleurs, notamment le FMI. À la place, il amalgame les chiffres de Mazars, de la Cour des comptes et de l’IGE, pour affirmer sans nuance : « Ces différents audits débouchent sur un constat très difficile pour le Sénégal avec un déficit cumulé à 14 % et une dette publique qui est à 119 % du PIB. » Or, ces audits ne couvrent ni les mêmes périmètres ni les mêmes périodes et les chiffres de Mazars ne sont même pas encore publics. Il confond prévision budgétaire et exécution effective en déclarant : « Aujourd’hui, on est à moins 8 % de déficit dans la LFR. Donc la moitié du chemin a déjà été parcourue.» Ce chiffre est un objectif inscrit dans la Loi de finances rectificative 2025 et non un résultat atteint. C’est une approximation grave surtout dans un discours de politique économique. Il évoque l’éventualité d’un transferts monétaires directs aux ménages vulnérables tout en ouvrant une porte béante au détournement et à la corruption compte tenu des difficultés d’une vérification physique. Il annonce la gratuité éventuelle des médicaments génériques, évoquée au conditionnel, comme si la politique publique se décidait par hypothèse. Il généralise une fiscalité tous azimuts, sans en expliciter les mécanismes. Influenceurs, fumeurs, parieurs, cinéphiles, propriétaires…,tout y passe. Cela tient davantage du réflexe de percepteur que d’une stratégie économique. Parallèlement, silence absolu sur les fonds politiques qu’il avait qualifiés d’illicites, sur les budgets faramineux des institutions, sur leurs propres dépenses de prestige. Ce premier tableau, fautif dans la forme, vide sur le fond n’est pas un incident isolé. Il est le miroir d’une méthode de gouvernement floue non maîtrisée où les effets d’annonce remplacent l’action rigoureuse, et où la communication tient lieu de stratégie. Thierno Bocoum Président AGIR- LES LEADERS www.dakaractu.com

Parme: Le défenseur des Lions Abdoulaye Niakhaté Ndiaye va signer un contrat de 4 ans

Parme: Le défenseur des Lions Abdoulaye Niakhaté Ndiaye va signer un contrat de 4 ans

Le défenseur international sénégalais Abdoulaye Niakhaté Ndiaye s’apprête à découvrir un nouveau championnat. Auteur d’une saison remarquée avec le Stade Brestois, où il était prêté par Troyes, le joueur va poursuivre sa carrière en Italie. Il est arrivé ce vendredi à Parme pour finaliser son transfert. Un accord estimé à 7,5 millions d’euros, assorti de […]

Clôture à Beijing du séminaire des journalistes sénégalais : entre découverte de la Chine et plaidoyer diplomatique

Clôture à Beijing du séminaire des journalistes sénégalais : entre découverte de la Chine et plaidoyer diplomatique

Ce mercredi 30 juillet 2025, l’Institut des Études Internationales et de la Formation du Groupe de Communication Internationale de Chine (CICG), en partenariat avec le ministère chinois du Commerce et l’Ambassade de Chine au Sénégal, a procédé à la clôture d’un séminaire dédié aux journalistes et cadres des médias sénégalais, à Beijing. Durant quinze jours (du 16 juillet au 30 juillet), une délégation d'une vingtaine de professionnels sénégalais a séjourné à Beijing et dans la ville de Dali, découvrant les réalités économiques, culturelles, touristiques et agricoles de la Chine, à travers cours, visites et échanges. À l’issue du séjour, des certificats de participation ont été remis à tous les membres de la délégation. Une immersion dans le modèle chinois Cette formation a permis aux participants de mieux comprendre la trajectoire économique et politique de la Chine, sa philosophie de développement, mais aussi ses défis contemporains. « Les cours m’ont permis de savoir d’abord ce que la Chine pense d’elle-même. Les Chinois sont fiers de leur histoire, s’appuient sur leurs forces internes avant de s’ouvrir au reste du monde. Avec l'initiative "La Ceinture et la Route", la Chine affiche ses ambitions de commercer avec tous les pays [...] La formation m'a aidé à comprendre la vision de la Chine, qui sait où elle va, tout en se donnant les moyens d'y arriver. La principale leçon que je tire de ce séjour, c'est que pour se développer, il faut d'abord et surtout compter sur soi. Le séjour à Dali a montré comment l'agriculture et le tourisme d'une vaste zone sont portés par le lac Erhai, objet de toutes les attentions pour assurer sa protection. Un bel exemple de préservation et d'utilisation de la ressource », a confié Malick Ciss, journaliste au quotidien national Le Soleil. Il a salué les investissements chinois en Afrique, notamment dans les infrastructures, tout en tirant une leçon essentielle : « Pour se développer, il faut compter sur soi. » Ousmane Dicko, journaliste à Seneweb, a salué la richesse des échanges et la pertinence des thématiques abordées : « C'était un séminaire intéressant avec des journées de travail assez dynamiques, avec des thèmes aussi très importants qui sont développés, ce  qui nous a permis de connaître le vrai visage de la Chine (sa manière de gouverner, de travailler). Ce séminaire nous a permis de mieux comprendre le système de gouvernance chinois et la mentalité qui a transformé ce pays d’Asie, autrefois pauvre, en seconde puissance mondiale. » Une nouvelle ère de la coopération sino-africaine Lors de la cérémonie, les organisateurs ont rappelé la force des relations sino-africaines, forgées par une longue histoire de soutien mutuel dans les luttes pour l’indépendance. « En septembre 2024, les présidents Xi Jinping et Bassirou Diomaye Faye ont co-présidé le Sommet de Beijing sur la coopération sino-africaine, marquant l’entrée dans une nouvelle ère », ont-ils souligné. Ils ont également exprimé leur souhait de renforcer la coopération dans les domaines des médias, du tourisme, de l’agriculture, du commerce, de la recherche et de l’éducation, dans le cadre de l’Initiative “la Ceinture et la Route”. Présent à la cérémonie, Abou Niang, deuxième secrétaire de l’Ambassade du Sénégal en Chine, a profité de l’occasion pour interpeller les autorités chinoises : « Ces types de manifestations sont souvent organisés sans que l’Ambassade du Sénégal en Chine en soit informée. Cela enfreint nos usages diplomatiques. Nous appelons la partie chinoise à prendre les mesures idoines. » Rappelons qu'au même moment le ministre Birame Soulèye Diop était à Beijing pour signer un accord de partenariat avec une société chinoise et s'était déplacé avec l'Ambassadeur du Sénégal en Chine dans la ville moderne de Shenzhen. Les organisateurs ont enfin souligné que le Sénégal et la Chine partagent des défis similaires, notamment face à la transformation rapide du paysage médiatique mondial. En tant que pays du Sud global, leur capacité d’influence reste limitée : « Nos voix restent peu audibles dans le système médiatique mondial. Il nous faut bâtir ensemble une véritable communauté de destin sino-sénégalaise. » www.dakaractu.com

Dr Adama Ndiaye : « Le Bamba Day mérite un classement à l’UNESCO » (Senego TV)

Dr Adama Ndiaye : « Le Bamba Day mérite un classement à l’UNESCO » (Senego TV)

Le directeur général de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT), Dr Adama Ndiaye, a pris part aux États-Unis à la célébration du Bamba Day, un événement qu’il qualifie « d’exceptionnel » et porteur pour le rayonnement du Sénégal à l’international. « Ce fut une véritable découverte et mes appréciations sont très positives. Le Bamba Day […]

Coupure prolongée d'eau à Colobane : les habitants  interpellent les autorités

Coupure prolongée d'eau à Colobane : les habitants interpellent les autorités

Depuis plus d'une semaine, une partie du quartier de Colobane à Dakar est confrontée à une coupure prolongée d'eau courante. Malgré les nombreuses alertes lancées par les habitants, aucune solution concrète n'a été apportée pour rétablir l'accès à ce liquide essentiel. Les populations concernées ont signalé le problème à plusieurs reprises, notamment via le numéro vert dédié, mais sans succès. Cette situation rend le quotidien extrêmement difficile, affectant l'hygiène, la cuisine, la lessive, la santé et la dignité même des personnes touchées. Un appel aux autorités Les habitants de cette zone ont décidé d'interpeller les autorités compétentes, en particulier le ministère de l'Hydraulique et de l'Assainissement, dirigé par le Dr Cheikh Tidiane Dièye, afin qu'une intervention urgente soit menée sur le terrain pour rétablir l'accès à l'eau dans les plus brefs délais. Un droit fondamental Les habitants rappellent avec fermeté que l'accès à l'eau n'est pas un privilège, mais un droit fondamental. Ils croient au discours de justice sociale, de souveraineté et de solutions concrètes porté par les plus hautes autorités du pays, et attendent une réponse concrète à leur problème. L'espoir d'une solution Les habitants de Colobane espèrent que les autorités prendront des mesures urgentes pour rétablir l'accès à l'eau courante dans leur quartier. Ils attendent une réponse concrète et durable à leur problème, pour retrouver leur dignité et leur qualité de vie. www.dakaractu.com

« Le programme du FMI ne fait pas vivre le Sénégal » : Sonko hausse le ton

« Le programme du FMI ne fait pas vivre le Sénégal » : Sonko hausse le ton

Le Premier ministre Ousmane Sonko a profité vendredi de la présentation du Plan de redressement économique et social pour adresser de vives critiques à l’endroit des partenaires internationaux, en particulier le Fonds monétaire international (FMI), qu’il accuse de retarder la signature d’un nouveau programme avec le Sénégal. « Je rassure que nous ne sommes pas là […]