Entre exploits et engagement : l’aventurier Rassoul Tounkara face au défi de rendre visible le patrimoine du Sénégal

Entre exploits et engagement : l’aventurier Rassoul Tounkara face au défi de rendre visible le patrimoine du Sénégal

Plongeur dans les eaux profondes du Sénégal, alpiniste affrontant les sommets et explorateur passionné par les richesses de son pays, Rassoul Tounkara a toujours placé l’aventure au cœur de son parcours. Ses expéditions, menées autant sur terre que dans les airs, lui ont permis de constater l’étendue du patrimoine naturel et culturel sénégalais. Mais au fil de ses explorations, un constat s’est imposé : ces merveilles restent largement méconnues, même par les habitants eux-mêmes. Face à ce paradoxe, Tounkara a décidé de transformer ses défis personnels en un objectif collectif : reconnecter les Sénégalais à leur territoire et faire rayonner la culture locale. Sa démarche dépasse l’exploit sportif ou l’aventure individuelle pour s’inscrire dans une mission sociale et culturelle. Chaque activité qu’il documente, chaque expérience qu’il partage s’inscrit dans cette volonté de rendre accessible et visible la richesse du pays. C’est de cette vision qu’est née ATAYA, une plateforme numérique qui prolonge ses aventures en offrant à tous la possibilité de découvrir, partager et vivre ces expériences. Pour Rassoul Tounkara, l’aventure n’est plus seulement un défi personnel mais un levier pour transformer la manière dont le Sénégal vit et valorise ses loisirs et son patrimoine. Son objectif est clair : faire du pays un territoire d’expériences partagées, où la découverte devient un lien entre les habitants et leur culture.a www.dakaractu.com

SYTJUST et UNTJ montent au front : 48 heures de grève nationale pour défendre les libertés syndicales et dénoncer la répression gouvernementale

SYTJUST et UNTJ montent au front : 48 heures de grève nationale pour défendre les libertés syndicales et dénoncer la répression gouvernementale

Le climat social au cœur de l'institution judiciaire atteint une nouvelle étape. SYTJUST et l'UNTJ ont annoncé une grève nationale de 48 heures, programmée pour les jeudi 31 juillet et vendredi 1er août 2025. Dans une déclaration au ton résolu, les syndicats critiquent ce qu'ils appellent le « mépris » et la « répression » de la part des autorités, en soulignant l'inaction du Ministre de la Justice et le manque de réaction du Ministre de la Fonction publique, malgré des alertes fréquentes soumises depuis plusieurs mois. Les employés du système judiciaire affirment que leur action dépasse maintenant le simple cadre de revendications professionnelles pour se transformer en un acte de « résistance syndicale » contre ce qu'ils considèrent comme une « dérive autoritaire ». Selon l'Entente, les abus de réquisitions, les arrêts de salaires et la pression exercée sur le personnel représentent une « grave atteinte » aux droits constitutionnels et aux avantages syndicaux. Les syndicats lancent un appel à une action nationale afin de sauvegarder les droits fondamentaux et la dignité des acteurs de la Justice. Cette grève, qui semble susciter un large soutien, risque d'immobiliser de multiples services judiciaires à travers l'ensemble du pays. Plus que les revendications matérielles, c'est la sauvegarde des principes démocratiques qui est priorisée. Le regroupement SYTJUST–UNTJ incite toutes les entités dynamiques de la Nation à adhérer à ce mouvement, qu'il définit comme un « combat pour la dignité et le renforcement de l'État de droit ». Les jours à venir pourraient être déterminants pour le futur du dialogue social dans le domaine de la Justice. www.dakaractu.com

Emploi des jeunes au Sénégal : Le Président Diomaye Faye appelle à l'accélération des réformes

Emploi des jeunes au Sénégal : Le Président Diomaye Faye appelle à l'accélération des réformes

Lors du Conseil des ministres de mercredi, le Président Diomaye Faye a réitéré l’importance de l’emploi des jeunes au Sénégal. Face à l’afflux constant de nouveaux diplômés, il a qualifié l’insertion professionnelle des jeunes de « priorité nationale » et d’« urgence sociale ». Réformes en vue pour l’emploi des jeunes Le Président a chargé le Premier ministre et […]

Affaire "Yoor-Yoor" : Plainte déposée contre Serigne Saliou Gueye après des révélations sur la mobilisation de soutien à Farba Ngom

Affaire "Yoor-Yoor" : Plainte déposée contre Serigne Saliou Gueye après des révélations sur la mobilisation de soutien à Farba Ngom

Le pool d'avocats de Farba Ngom, composé de Me Baboucar Cissé, Me Alassane Cissé, Me Abdou Dialy Kane, Me El Hadji Oumar Youm et Me Doudou Ndoye, a déposé plainte ce mercredi. La plainte vise le Directeur de publication du quotidien « Yoor-Yoor », Serigne Saliou Gueye, et a été déposée auprès du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Dakar, ainsi que devant la Division Spéciale de la Cybersécurité (DSC). Des "fausses nouvelles" et une "atteinte à l'honneur" dénoncées Selon le communiqué des avocats, leur client a eu "la désagréable surprise de découvrir ledit article qui, en sus de constituer une diffusion de fausses nouvelles, porte foncièrement atteinte à son honneur et à sa considération." Les avocats tiennent à préciser plusieurs points : Farba Ngom est actuellement en détention préventive à la Maison d’Arrêt et de Correction de Rebeuss, et son état de santé est "plus qu’inquiétant" en raison de son incarcération. Il n'est "guère le Maire de Ourossogui où la prétendue marche a été organisée, mais celui d'Agnam". "En conséquence, il n’est ni de près ni de loin lié à l’organisation d’une telle manifestation, à telle enseigne que son image a été ternie par le journal Yoor-Yoor." Les avocats affirment que leur client "n’a point et ne peut décaisser la somme de 1 milliard de francs CFA comme le soutient le sieur Serigne Saliou Gueye". www.dakaractu.com

Interpellation de Me Mohamadou Moctar FAYE, expert fiscal dans l’affaire dite des « bateaux fantômes » : « une atteinte grave à l’honneur de la profession » (Me Saliou Dieye)

Interpellation de Me Mohamadou Moctar FAYE, expert fiscal dans l’affaire dite des « bateaux fantômes » : « une atteinte grave à l’honneur de la profession » (Me Saliou Dieye)

Dans une tribune relative à l'affaire des « bateaux fantômes », récemment révélée par le quotidien Libération, Me Saliou Dieye, expert fiscal, dénonce une « humiliation » suite à l'interpellation jugée brutale de Me Mohamadou Moctar FAYE, expert fiscal et conseil juridique, et membre dûment inscrit de l’Ordre National des Experts du Sénégal (ONES). Une arrestation "injustifiable" dénoncée « C’est une interpellation qui constitue une atteinte grave à l’indépendance des professions libérales, à l’honneur de notre Ordre, et plus largement à l’intelligence technique de notre démocratie », a constaté le Mandataire Judiciaire et Président de l’Ordre National des Experts du Sénégal (ONES), lançant un cri du cœur contre une « arrestation injustifiable ». Me FAYE, en mission officielle pour le Cabinet international Baker McKenzie, conseil direct du client concerné, agissait strictement dans le cadre d’un mandat d’expertise fiscale. Alors qu'il a décliné son identité et précisé sa qualité aux enquêteurs, « il a pourtant été interpellé, menotté et exposé à une humiliation publique par des agents de la Division des Investigations Criminelles (DIC), avec l’appui de l’Administration des Douanes, sur instruction du Parquet Judiciaire Financier ; dans le régime d’un retour de Parquet il a passé une nuit entière à la Police », regrette Me Dieye. Il qualifie la scène d’« extrême gravité, d’autant plus absurde qu’elle visait un professionnel qui ne faisait que son travail. Elle est également humiliante et source de toutes les ambiguïtés comme en atteste la une du journal Libération du 24 juillet 2025, qui l’intègre à une prétendue “mafia” de 845 milliards, sans discernement, ni respect du droit ». Me Dieye précise que le Décret n°2020-2421 du 31 décembre 2020, pris pour l’application de la Loi n°2017-16 portant création de l’ONES, ainsi que son article 8, garantissent l’indépendance de l’expert, un principe fondamental selon lequel l'expert demeure rigoureusement indépendant vis-à-vis des administrations publiques ou des organisations politiques ou professionnelles. Confusion regrettable entre recettes publiques et libertés professionnelles Selon le président de l’ONES, l’impératif des objectifs de recettes assignés aux Régies Financières, dans un contexte budgétaire tendu, ne saurait justifier des pratiques d’intimidation ou la criminalisation de professionnels accomplissant des missions légales. L’efficacité budgétaire ne peut, en aucun cas, se faire au détriment du droit à l’exercice libre, indépendant et digne des professions réglementées. Une alerte adressée à la République L’Ordre adresse un message solennel aux autorités, rappelant avec gravité que « le Premier Ministre Ousmane Sonko est lui-même expert fiscal inscrit à l’ONES ». Cet épisode impose, selon l'ONES, une introspection institutionnelle, mais surtout des mesures correctives immédiates. Celles-ci incluent la formation obligatoire des officiers de police judiciaire, magistrats et douaniers sur le statut et les garanties de l’expert, la mise en place d’un protocole d’intervention spécifique et respectueux des règles déontologiques, et un dialogue structuré entre les Ordres professionnels et les organes d’enquête pour prévenir les dérives. www.dakaractu.com

Burkina : manifestation à Ouagadougou pour réclamer "justice" après la mort d'un influenceur burkinabè à Abidjan

Burkina : manifestation à Ouagadougou pour réclamer "justice" après la mort d'un influenceur burkinabè à Abidjan

Des milliers de personnes ont manifesté mercredi à Ouagadougou pour réclamer "vérité et justice" sur la mort en détention à Abidjan de l'influenceur Alain Christophe Traoré, alias Alino Faso, soutien de la junte au pouvoir au Burkina qui était détenu pour "intelligence avec des agents d'un Etat étranger". Interpellé le 10 janvier à Abidjan, Alino Faso, 44 ans, était détenu à l'Ecole de Gendarmerie, où il a été retrouvé mort le 24 juillet, "pendu à l'aide de son drap de lit, après avoir tenté sans succès de s'ouvrir les veines du poignet", a affirmé dimanche le procureur de la République de Côte d'Ivoire Oumar Braman Koné. Le gouvernement burkinabè a condamné lundi "cette disparition assimilable à un assassinat crapuleux" selon lui et exigé que "toute la lumière soit faite" sur la mort de M. Traoré. Mercredi des milliers de manifestants ont rendu hommage à Alino Faso, à l'appel de la Coordination nationale des associations de veille citoyenne (CNAVC), selon des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux et des sources locales jointes par l'AFP. Les manifestants, majoritairement vêtus de blanc, se sont rassemblés devant le mémorial Thomas Sankara, brandissant des banderoles et des pancartes où l'on pouvait notamment lire "Le peuple burkinabè réclame justice pour Alino Faso" ou "Assassin connu, justice attendue. Ce crime ne restera pas impuni". Les manifestants ont scandé des propos hostiles au président ivoirien Alassane Ouattara, affiches à l'effigie d'Alino Faso en main et des drapeaux du Burkina Faso en l'air. Le cortège a marché jusqu'à l'ambassade de Côte d'Ivoire à Ouagadougou, où un léger dispositif sécuritaire était visible. - "Fins politiques" - Dans un message lu devant la représentation diplomatique ivoirienne et relayé sur les réseaux sociaux, la CNAVC a pointé des "zones d'ombre" dans la version officielle ivoirienne sur la mort d'Alino Faso "qui méritent d'être éclaircies." "La mort de Alino n'est pas un drame individuel. C'est un drame qui touche la nation entière et qui appelle à la vérité, à la justice et au respect des droits humains", a souligné la CNAVC. "Le procureur n’aurait pas évoqué l’élément de suicide s’il n’avait pas suffisamment d’éléments pour le dire", a réitéré mercredi après-midi Amadou Coulibaly, le porte-parole du gouvernement ivoirien. "Il est simplement regrettable que l’on veuille exploiter à des fins politiques le décès d’un être humain", a-t-il dit. Selon l’Agence d’information du Burkina, les autorités ivoiriennes ont officiellement adressé mardi leurs condoléances au gouvernement burkinabè, sans répondre à sa demande de rapatriement du corps de M. Traoré pour des obsèques nationales. "Le ministère des Affaires étrangères va saisir les autorités diplomatiques burkinabè pour la suite de cette affaire", a annoncé le porte-parole du gouvernement ivoirien. La Côte d'Ivoire et le Burkina Faso entretiennent des relations très tendues depuis la prise de pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré par un coup d’État en septembre 2022. Le gouvernement burkinabè avait prévenu lundi que la mort d'Alino Faso ne resterait "pas impunie." www.dakaractu.com

Mali: un journaliste critique de la junte condamné à huit mois de prison avec sursis

Mali: un journaliste critique de la junte condamné à huit mois de prison avec sursis

La justice malienne a condamné un journaliste critique de la junte au pouvoir à huit mois de prison avec sursis pour "atteinte au crédit de l’État", a-t-on appris mercredi auprès du tribunal de première instance de Bamako. Alfousseini Togo, directeur de publication de l'hebdomadaire malien Le Canard de la Venise, avait été arrêté puis incarcéré début avril à Bamako pour "atteinte au crédit de la justice, trouble à l'ordre public et diffamation". Il avait ensuite obtenu début mai une liberté provisoire. M. Togo, qui comparaissait lundi, a plaidé coupable lors de son procès. Il a écopé de huit mois de prison avec sursis et d'une amende de 500.000 FCFA (762 euros) "pour atteinte au crédit de l'Etat". Le journaliste ne devrait pas retourner en prison avec cette condamnation. "Nous ne ferons pas appel de la décision, a déclaré à l'AFP Boubacar Yalcoué, président du comité de soutien à Alfousseini Togo. Il était reproché à M. Togo d'avoir critiqué le ministre de la Justice Mamoudou Kassogué et le pôle de lutte contre la cybercriminalité, dans un article intitulé "La justice malienne ou le mal du siècle: la bourde du ministre Mamoudou Kassogué". Dans cet article, M. Togo remettait en cause notamment une affirmation du ministre Kassogué selon laquelle l'indice de confiance en la justice malienne est passé de 30% à 70% en 2024. Le Mali est dirigé par une junte depuis deux coups d'Etat en 2020 et 2021. Les militaires ont pris des mesures répressives contre la presse, suspendu l'accès ou la diffusion de plusieurs médias - notamment étrangers - et réduit au silence ou emprisonné des journalistes et autres voix critiques. La junte a également dissous les partis politiques et des organisations à caractère politique dans le pays. Leurs membres ont également été interdits de réunion par les militaires. Début juillet, le régime militaire a accordé un mandat de président de cinq ans renouvelable "autant de fois que nécessaire" et sans élection au chef de la junte, le général Assimi Goïta. www.dakaractu.com

Le plan de redressement débute par une faute républicaine ( Par Thierno Bocoum )

Le plan de redressement débute par une faute républicaine ( Par Thierno Bocoum )

Le communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi 30 juillet 2025 annonce que « Le Conseil a examiné et adopté le Plan de redressement économique et social présenté par Monsieur le Premier ministre. » Cette phrase, en apparence anodine, cristallise à elle seule deux dérives graves et convergentes, la personnalisation croissante du pouvoir exécutif autour du Premier ministre et le contournement méthodique des institutions de la République. D’un point de vue institutionnel, la formulation est troublante. Dans le régime politique sénégalais, c’est le Président de la République qui détermine la politique de la Nation (article 42 de la Constitution) et non son Premier ministre. Ce dernier dirige l’action du gouvernement dans le cadre fixé par le Chef de l’État mais ne peut se substituer à lui comme concepteur politique. En affirmant que le plan a été présenté par le Premier ministre, le Conseil des ministres consacre une inversion des rôles constitutionnels où l’exécution se prend pour la source. Le plus préoccupant encore est est que le plan ainsi adopté sera présenté au public ce vendredi 1er août au Grand Théâtre National, sous la présidence effective du chef de l’État, sans que l’Assemblée nationale n’ait été saisie ni même informée en séance publique de ses contenus, de ses implications budgétaires ou de ses choix stratégiques. Ce déséquilibre institutionnel n’est pas une première. Il s’inscrit dans une logique déjà exprimée et assumée par le Premier ministre lui-même, qui, dès sa nomination, avait publiquement envisagé de faire sa déclaration de politique générale non pas devant l’Assemblée nationale mais devant un jury populaire. Cette sortie, en rupture avec l’article 55 de la Constitution, fut alors perçue comme un incident de communication. Elle apparaît aujourd’hui comme une méthode de gouvernement. Le schéma se répète et se précise. Le pouvoir exécutif élabore un plan stratégique, le Conseil des ministres l’adopte dans une formulation qui personnalise son origine, le Premier ministre s’érige en porteur exclusif du projet et le peuple est invité à l’applaudir avant même que ses représentants n’en débattent. Autrement dit, la validation populaire précède la délibération parlementaire, dans une République où c’est pourtant l’inverse qui garantit l’État de droit. Le Parlement devient spectateur d’un plan déjà scellé, pendant que le gouvernement se drape dans une adhésion supposée, mise en scène. Cette méthode est dangereuse. Elle confond communication et gouvernance, audience et légitimité, adhésion émotionnelle et cadre constitutionnel. Elle installe un pouvoir parallèle où la scène médiatique prend le pas sur les institutions, où la République devient un décor et où le gouvernement confisque le débat démocratique pour en faire un spectacle. Le Sénégal ne se gouverne pas au théâtre. Un plan de redressement économique et social, dès lors qu’il implique des arbitrages budgétaires, fiscaux, sociaux et structurels, doit être présenté à la représentation nationale. C’est devant les députés que le Premier ministre doit répondre, c’est dans l’hémicycle que les choix doivent être justifiés et c’est dans la transparence que les arbitrages doivent être assumés. Cela étant dit, nous attendons impatiemment le contenu de ce plan, malgré les vices de procédure qui l’ont entaché dès son lancement. Les Sénégalais, en dehors des débats institutionnels, ne demandent qu’une seule chose qu’à sortir d’une situation économique devenue insoutenable pour les ménages, étouffante pour le tissu productif et périlleuse pour la stabilité sociale. Thierno Bocoum Président AGIR- LES LEADERS www.dakaractu.com

Kédougou, Saraya, Mako : la Gendarmerie déploie de nouvelles unités

Kédougou, Saraya, Mako : la Gendarmerie déploie de nouvelles unités

La Gendarmerie nationale poursuit le maillage sécuritaire du territoire. Ce vendredi 1er août 2025, plusieurs infrastructures seront inaugurées dans la Légion de Gendarmerie de Kédougou, en présence du ministre des Forces armées et du Haut-commandant de la Gendarmerie, le général de division. Trois étapes marqueront la journée : Ces installations visent à renforcer la sécurité […]

Eumeu Sène : « Je vais corriger Franc »

Eumeu Sène : « Je vais corriger Franc »

Le lutteur Eumeu Sène a tenu un open press ce mercredi au stade Alassane Djiggo de Pikine, en prévision de son combat contre Franc le 3 août prochain. Devant ses supporters, il a affiché sa détermination et sa confiance en une victoire. « Je vais le corriger », a-t-il déclaré, selon Kawtef. Eumeu Sène confiant […]