
?DIRECT : Remise de prix du Concours général 2025
La cérémonie de remise des prix du Concours général se tient ce jeudi, au Grand Théâtre de Dakar e... www.pressafrik.com
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Un duel sous haute tension se joue entre une multinationale stratégique et l’administration fiscale sénégalaise. Selon les informations du journal Libération, Orica Sénégal, filiale locale du géant mondial spécialisé dans la production d’explosifs, de systèmes de dynamitage, de produits chimiques pour les mines et de solutions de surveillance géotechnique, est au cœur d’un contentieux fiscal de près de 700 millions de francs CFA. Tout commence par un contrôle fiscal, mené par la Direction générale des impôts et domaines (DGID), qui relève plusieurs irrégularités supposées, notamment autour du paiement de l’impôt sur les sociétés (IS) et des droits d’enregistrement. Verdict de l’administration : un redressement fiscal de 695.604.000 FCFA. Orica Sénégal conteste vigoureusement ces conclusions. Mais les Impôts, eux, ne fléchissent pas. Non seulement ils confirment le redressement, mais vont plus loin en actionnant un levier radical : l’Avis à tiers détenteurs (ATD). Concrètement, les banques de la société ont été notifiées afin de procéder au recouvrement forcé du montant en jeu. Face à ce coup de massue, la société n’a pas tardé à saisir la justice. Une assignation-opposition a été introduite pour bloquer la procédure, et les deux parties seront appelées à comparaître devant le tribunal le 11 août prochain. www.dakaractu.com
Le président de l’Organisme Départementale de Coordination des Activités de Vacances (ODCAV) d... www.pressafrik.com
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, présentera le 1er août 2025 un plan de redressement économique. Ce plan vise à redresser l’économie du Sénégal, décrite comme étant en difficulté. Contexte économique difficile Le pays fait face à plusieurs défis : des chantiers de BTP à l’arrêt, des bailleurs de fonds méfiants et le départ d’amis traditionnels. […]
Les affiches des quarts de finale de l’Afrobasket féminin 2025 sont désormais connues à l’issue du dernier match de barrage remporté par le Cameroun face à l’Angola. Le Sénégal retrouvera la Côte d’Ivoire, pays hôte, ce jeudi à 18h00 GMT au Palais des Sports de Treichville. Après leur large victoire contre le Rwanda (80-37) mercredi […]
C’est une affaire sordide et choquante qui éclabousse une nouvelle fois le milieu éducatif, et c’est le quotidien Libération qui en a révélé les détails glaçants dans son édition du 31 juillet. Aux Parcelles Assainies, plus précisément entre l’unité 10 et l’unité 15, un enseignant en arabe a été appréhendé en pleine nuit dans une situation pour le moins abjecte. Selon Libération, dans la nuit du 29 au 30 juillet, aux environs de 01h du matin, un dénommé O. Samb, qui revenait d’une séance de sport nocturne, a été témoin d’une scène qu’il n’oubliera pas de sitôt. Sur la plage jouxtant l’unité 15, il a surpris Massamba Bèye, un enseignant en arabe domicilié à l’unité 10, en train de commettre un acte contre nature avec un mineur. Stupéfait, le témoin n’a pas hésité à intervenir. Pris la main dans le sac — ou plutôt en flagrant délit — l’enseignant et le jeune garçon se sont immédiatement enfuis dans la nuit noire. Mais c’était sans compter sur la détermination d’O. Samb, qui s’est lancé à leur poursuite. Grâce à une brève mais efficace course-poursuite, il parvient à interpeller Massamba Bèye, laissant le jeune garçon prendre la fuite. L’enseignant a été conduit sans délai au commissariat de l’unité 15 des Parcelles Assainies, où il a été soumis à un premier interrogatoire. Face aux agents, il a reconnu sans détour les faits qui lui sont reprochés, précisant que son jeune partenaire se prénommait Mohamed, sans toutefois pouvoir donner davantage d’informations, ni une adresse, ni un contact. Ce flou sur l’identité du mineur ne fait que renforcer les zones d’ombre autour de cette affaire déjà très grave. Pour les enquêteurs, plusieurs pistes sont à creuser : comment les deux individus se sont-ils rencontrés ? Le mineur est-il victime d’un réseau plus vaste ou d’une relation d’abus prolongée ? Quelles sont les antécédents de l’enseignant ? Le parquet a été saisi, et l’enquête se poursuit pour tirer toute cette affaire au clair. www.dakaractu.com
Seize mois après l’alternance incarnée par le Pastef, le Sénégal semble déjà confronté à l’épreuve du pouvoir. Cette zone grise où les ambitions se heurtent aux contingences, où les volontés proclamées se dissolvent dans la complexité administrative, et où l’urgence de gouverner supplante la patience de réformer. Le régime issu d’une mobilisation populaire exceptionnelle avait suscité l’attente d’un renouveau profond. Pourtant, la gouvernance actuelle demeure sans orientation lisible. L'absence d’un cadre d’action cohérent affaiblit la lisibilité des choix et empêche l’instauration d’un dialogue stratégique avec les institutions. Le contexte économique, bien que contraignant, ne saurait à lui seul expliquer l’essoufflement perceptible. La dette publique avoisine désormais 119 % du PIB. La croissance, autrefois soutenue, ralentit sous l’effet combiné d’une inflation persistante, d’un affaiblissement du tissu productif et d’une réduction des marges de manœuvre budgétaires. Mais au-delà de ces paramètres, c’est l’absence d’un projet cohérent de transformation économique qui interpelle. Les allocations budgétaires poursuivent des logiques fragmentées, souvent dictées par l’urgence politique ou sociale, sans inscription dans un horizon de planification structuré. Le fonctionnement institutionnel révèle une dualité problématique. Le binôme exécutif formé par le Président de la République et le Premier ministre, bien que constitutionnel, manque d’un mécanisme d’arbitrage stratégique permettant une coordination fluide et une allocation efficace des fonctions. La confusion des rôles affaiblit l’autorité de l’action publique, dilue les responsabilités et alimente un climat d’incertitude tant au sein de l’appareil étatique que chez les partenaires techniques et financiers. L’administration centrale, loin de se muer en levier de transformation, reste marquée par une inertie technocratique. Les nominations récentes dans les postes-clés trahissent un retour aux logiques de fidélité partisane au détriment de la compétence. La méritocratie, pourtant érigée en principe directeur par les nouveaux dirigeants, ne se manifeste ni dans les processus de recrutement ni dans les promotions. Cette absence de gouvernance professionnelle mine la capacité de l’État à concevoir, mettre en œuvre et évaluer des politiques publiques efficaces. Sur le terrain de la justice, les signaux sont ambigus. Certaines décisions récentes du Conseil constitutionnel, de la Cour suprême ou de la Haute Cour de justice laissent entrevoir une résistance institutionnelle face aux interférences. La remise en cause d’actes administratifs contraires au droit montre que des noyaux de solidité existent encore. Toutefois, la persistance d’arrestations ciblées nourrit une défiance croissante. La justice sénégalaise reste debout, mais l’absence de réformes structurelles soulève la question de sa résilience future. Le projet d’industrialisation par pôles régionaux n’a pas dépassé le stade incantatoire. Aucun plan directeur n’oriente les nouveaux investissements vers les bassins de production à fort potentiel. Les politiques de soutien aux chaînes de valeur restent fragmentées, sans instruments de financement appropriés ni dispositifs d’incitation à l’émergence de champions nationaux. Les zones économiques spéciales demeurent sous-utilisées, et les régions périphériques ne disposent ni d’infrastructures adéquates ni d’écosystèmes productifs capables d’absorber une main-dœuvre croissante. L’emploi des jeunes, priorité affichée par l’ensemble des régimes successifs, ne bénéficie toujours pas d’une stratégie intégrée. Les politiques de formation ne sont pas alignées sur les dynamiques sectorielles. Les dispositifs d’appui à l’entrepreneuriat peinent à répondre aux besoins réels d’accompagnement technique et de financement patient. Les politiques d’insertion reposent sur des programmes dispersés, sans coordination transversale ni mécanisme de suivi rigoureux. L’administration publique, qui aurait pu jouer un rôle moteur dans la redéfinition des politiques, reste enfermée dans une logique procédurale. Les chevauchements de compétences entre ministères, la faible culture de l’évaluation et l’absence de réforme des structures de planification entravent la modernisation de la gestion publique. Le Ministère de l’Économie, du Plan et de la Coopération n’assume plus de manière effective son rôle de pilote de la programmation stratégique intersectorielle. La Vision Sénégal 2050, conçue comme boussole de la transformation nationale, a disparu des références institutionnelles. Les lois de finances ne s’y adossent plus. Les politiques sectorielles ne se réfèrent pas à ses scénarios prospectifs. Les revues de performances ne mobilisent pas ses indicateurs. Ce recul traduit moins un rejet explicite qu’un effacement progressif, révélateur d’une perte de cohérence stratégique au sommet de l’État. La gouvernance macroéconomique souffre de l’absence d’une politique budgétaire ancrée dans une trajectoire de transformation. Les lois de finances successives sont construites dans l’urgence, sans cadre pluriannuel de performance. Les arbitrages budgétaires ne reflètent ni les priorités de développement ni les contraintes d’efficacité économique. L’absence de hiérarchisation des politiques publiques alimente une dérive vers la gestion conjoncturelle. Les partenaires techniques et financiers, à l’exception du FMI, maintiennent leurs programmes, mais expriment de plus en plus de réserves. L’absence d’un cadre stratégique opérationnel rend difficile la coordination, fragilise les dialogues sectoriels et affaiblit la redevabilité. Le risque de fragmentation de l’aide devient réel. Le redressement du Sénégal suppose une refondation de la gouvernance publique, une réhabilitation du sens de la planification et un ancrage de l’action gouvernementale dans une vision de long terme. Le retour à la Vision Sénégal 2050, réactualisée, appropriée et rendue contraignante, constitue une première condition. Il convient de redonner au ministère en charge du plan un rôle politique, de réarmer l’État par l’expertise, et de restaurer la chaîne de commandement stratégique. Les récentes initiatives diplomatiques illustrent enfin l’ambiguïté de la gouvernance actuelle. La visite du Premier ministre en Chine, immédiatement suivie de celle du Président aux États-Unis, à l’invitation du Président Donald Trump, a surpris par sa temporalité et sa symbolique. Ce double mouvement soulève une interrogation stratégique : s’agit-il d’une expression assumée d’une diplomatie multi-alignée, ou d’un symptôme supplémentaire d’une dyarchie non maîtrisée, dont les puissances étrangères commenceraient déjà à exploiter les interstices ? Le Sénégal dispose de ressources humaines remarquables, d’une société civile vibrante, et d’un capital symbolique fort à l’échelle régionale. Pour que cette richesse devienne levier de transformation, encore faut-il une direction claire, un État stratège, et une gouvernance publique fondée sur la légitimité de la méthode, la rationalité des choix et la cohérence des politiques. Dr Abdourahmane Ba Ingénieu... www.dakaractu.com
L’édition 2025 du concours général s’est déroulée dans de bonnes conditions, selon les autorités éducatives. C’est ce qu’a confirmé Papa Kandji, directeur de l’enseignement moyen secondaire général, lors de la présentation officielle des résultats au président de la République. « Monsieur le Président de la République, l’honneur me revient cette année encore de vous présenter […]
À quelques jours du Magal de Touba prévu le 13 août prochain , l’hôpital Cheikh Ahmadoul Khadim a finalisé son dispositif d’accueil et de soins pour répondre à l’afflux massif de pèlerins. Entre logistique renforcée, gratuité des services et engagement du personnel médical, tout est en place pour assurer une couverture sanitaire sans faille. La direction, en synergie avec le corps médical, a mis en place un système de travail adapté à la circonstance, incluant la gratuité des soins avant, pendant et après le jour saint du 18 Safar. Une visite guidée a permis de découvrir un mécanisme d’accueil performant, avec un renfort spécifique en personnel dédié aux urgences et aux accidentés. Les chefs de service ont assuré que toutes les unités sont mobilisées pour garantir une prise en charge rapide et efficace. L’établissement s’apprête ainsi à faire face à toutes les sollicitations, dans un esprit de dévotion et de solidarité envers les pèlerins. www.dakaractu.com
La Chambre d'accusation financière se prononcera ce vendredi 1er août 2025, sur les demandes d... www.pressafrik.com
Le débat juridique autour de l'« offense à une personne exerçant les prérogatives du chef d... www.pressafrik.com
L’escroc au faux projet de permis social tombe après un an de fuite – 400 victimes et 16 millions FCFA envolés C’est la fin d’une traque qui aura duré douze mois. Recherché depuis un an pour escroquerie à grande échelle, Mouhamed Guèye a été arrêté ce mercredi 30 juillet 2025 par la brigade de recherches de la gendarmerie de Keur-Massar, dirigée par le nouvel adjudant Abdoul Aziz Gningue. Une arrestation qualifiée de véritable coup de maître tant l’homme s’était rendu insaisissable, après avoir grugé près de 400 habitants de Keur-Massar-Nord, ainsi que leur propre maire. Le faux projet “social” de permis de conduire Tout commence il y a un an, lorsque Mouhamed Guèye, sapé comme un homme d’affaires crédible, se présente à la mairie de Keur-Massar-Nord avec un projet qui semble alléchant : offrir des permis de conduire à caractère social. Le concept : former rapidement les habitants à la conduite, pour seulement 40 000 FCFA par personne. Séduit, le maire Adama Sarr donne son feu vert, légitimant ainsi l’initiative auprès de ses administrés. Les inscriptions affluent. En tout, 400 personnes versent chacune les 40 000 francs CFA demandés, soit un total de 16 millions FCFA. Mais une fois la cagnotte en poche, Mouhamed Guèye disparaît sans laisser de traces. Une traque patiente, un escroc rusé Une plainte collective est rapidement déposée à la Brigade de recherches de Keur-Massar. Mais Mouhamed Guèye n’en est pas à son coup d’essai. Rusé, il évite systématiquement la localisation, change de téléphone et de planque. Pendant douze mois, les enquêteurs jouent au chat et à la souris, sans jamais clore le dossier. La persévérance de la gendarmerie finit toutefois par payer. Le 30 juillet 2025, Guèye est localisé et interpellé en douceur, sans résistance, avant d’être placé en garde à vue dans les locaux de la brigade. Un projet bidon du début à la fin L’enquête révèle que Mouhamed Guèye n’avait ni centre de formation ni auto-école. Le véhicule utilisé pour “faire croire” à un encadrement pratique avait simplement été emprunté, à des fins de mise en scène. Tout reposait sur la crédibilité offerte par l’appui du maire, lui-même dupé par l’élégance et la rhétorique du faussaire. Quelle suite judiciaire ? Pour l’instant, Mouhamed Guèye reste en garde à vue, mais son déferrement devant le parquet ne devrait pas tarder. Les faits qui lui sont reprochés — escroquerie en bande organisée, abus de confiance et usurpation de fonction — pourraient lui valoir plusieurs années de prison ferme. www.dakaractu.com
Dans l’écheveau complexe de l’affaire Kocc Barma, un nom surgit avec fracas : El Hadji Assane Demba. Ex-coordinateur de la diaspora du mouvement politique Aaris, dirigé par Mame Boye Diao, il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt par le doyen des juges d’instruction. Loin de l’image d’un cadre politique posé, L’Observateur révèle le passé numérique sulfureux d’un homme que rien ne prédestinait, en apparence, à un tel scandale. Des accusations lourdes, un homme sous mandat de dépôt Après quatre jours en garde à vue, le couperet est tombé mardi : El Hadji Assane Demba est désormais poursuivi pour : • Association de malfaiteurs • Collecte illicite de données personnelles • Diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs • Atteinte à la vie privée • Pornographie infantile et pédophilie • Extorsion de fonds Autant de chefs d’inculpation qui font de lui un élément clé dans le réseau numérique présumé de Kocc, personnage tristement célèbre pour ses activités illicites en ligne. Une double vie savamment dissimulée Installé en Suisse, marié et père de famille, Demba menait une existence calme, loin des projecteurs. Mais à Dakar, les enquêteurs sont remontés jusqu’à lui, mettant au jour un passé trouble de cyber-escroc méthodique. D’après L’Observateur, ses activités remonteraient au début des années 2010, lorsqu’il piratait les comptes Facebook de personnalités comme Yérim Sow, Cheikh Amar ou même… Macky Sall. Utilisant ces fausses identités, il manipulait des proches de ses cibles en leur promettant postes, terrains ou faveurs administratives. L’un des cas les plus emblématiques reste celui de l’ex-maire Adama Bâ, à qui Demba, se faisant passer pour Cheikh Amar, avait promis un poste de direction au Maroc. Déconfit après avoir découvert la supercherie, le maire avait saisi la DIC, qui avait interpellé Demba à Hann Maristes. L’affaire avait finalement été étouffée par une médiation religieuse, menée notamment par Serigne Abdou Lahad Gaïndé Fatma. Un arsenal numérique redoutable El Hadji Assane Demba ne se contentait pas de faux profils. Il allait plus loin, piratant des adresses e-mails professionnelles — dont celle de la directrice commerciale de la Sicap — pour donner du crédit à ses offres fictives. Certaines victimes, notamment en France, auraient perdu jusqu’à 4,9 millions de FCFA. L’Observateur souligne qu’il ne s’agissait pas d’un amateur : Demba maîtrisait les outils de brouillage de traces numériques, opérait derrière des identités virtuelles et s’évertuait à ne laisser aucune empreinte exploitable. “Un homme discret”, disent ses proches Malgré ses antécédents, certains de ses anciens collaborateurs au sein du mouvement Aaris se disent stupéfaits. « C’est quelqu’un de très discret, engagé, toujours respectueux », confie un membre du parti, sous anonymat. Mais dès l’annonce de son arrestation, Aaris s’est empressé de se désolidariser, publiant un communiqué pour rappeler son attachement aux valeurs de probité et annonçant l’exclusion immédiate d’Assane Demba. Un profil central dans le puzzle Kocc Barma Le rôle exact joué par El Hadji Assane Demba dans l’affaire Kocc Barma reste encore à éclaircir. Mais une chose est sûre : l’homme n’est pas un simple exécutant. Derrière son allure de cadre respectable, se cache un professeur du numérique clandestin, capable de manipuler les outils les plus sophistiqués pour des activités criminelles en ligne. www.dakaractu.com
Le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, El Malick Ndiaye, a marqué les esprits lors de l... www.pressafrik.com