“Je n’ai eu aucune aide de la police”, témoigne Elise, victime de violences conjugales | ÇA IRA !

“Je n’ai eu aucune aide de la police”, témoigne Elise, victime de violences conjugales | ÇA IRA !

En 2024, au moins 272 400 personnes, quasi-exclusivement des femmes, ont été victimes de violences conjugales, selon le ministère de l’Intérieur. Des chiffres largement sous-estimé, puisqu’ils ne se basent que sur les plaintes déposées. En 2025, on compte déjà au moins 152 féminicides. À l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et de toutes les manifestations qui ont eu lieu ces derniers jours, nous donnons la parole à celles qui subissent et qui luttent contre ces violences, et qui pointent l’abandon de l’État. Pour en discuter, Elise Bainville, gérante d’un bar à Palaiseau, dans l’Essonne, victime violences conjugales de la part de son conjoint, et mère d'une fille victime de viol par l’un de ses anciens amis et Mine Günbay, directrice Générale de la Fédération nationale Solidarité Femmes, un réseau de 83 associations qui accueillent, accompagnent et hébergent les femmes victimes de violences et leurs enfants. Solidarité Femmes, c’est aussi le 3919, le numéro d’écoute national destiné aux femmes victimes de violences, sont nos invitées. En plateau également, Kareen Janselm, journaliste à la rubrique société de l’Humanité et spécialiste des enjeux féministes et LGBTQIA+, et de la lutte contre les VSS.

L’ancien Président plaide en Bretagne la cause d’un filet et d’un dispositif de pêche révolutionnaire

L’ancien Président plaide en Bretagne la cause d’un filet et d’un dispositif de pêche révolutionnaire

Le 30 novembre 1925, à Rennes, les journalistes de L’Ouest-Éclair affûtent leurs crayons. Un grand procès maritime va s’ouvrir avec un avocat vedette : Alexandre Millerand, ancien président de la République. C’est le match retour d’un combat livré à Lorient quelques mois plus tôt, et l’énième épisode d’une longue saga judiciaire.