
Perdu en pleine jungle, un jeune homme de 19 ans survit en mangeant des insectes et de l’écorce
Un jeune Britannique de 19 ans avait disparu dans la jungle thaïlandaise le 2 octobre 2025. Il a été retrouvé en vie dans un temple bouddhiste.
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La 47e édition du Festival international du cinéma méditerranéen (Cinemed) fait affluer à Montpellier, du 17 au 25 octobre, des personnalités de premier plan du 7 e art. On a sélectionné pour vous celles qui vont...
Paris - Le Conseil d'État a rejeté mercredi le recours d’Apple concernant une amende de 8 millions d’euros infligée fin 2022 par la Cnil pour avoir imposé des traceurs publicitaires à ses utilisateurs en France, sans consentement explicite de ceux-ci. Dans sa décision, consultée par l’AFP, la haute juridiction a estimé que la sanction du gendarme français des données personnelles n'était pas disproportionnée, considérant le nombre de personnes concernées (27,5 millions entre juillet 2020 et juillet 2021) ainsi que le chiffre d’affaires mondial du géant de la tech. Elle a également affirmé que les activités en France d’Apple justifiait la compétence de la Cnil dans ce domaine, et que l’entreprise avait bénéficié d’un temps suffisant pour préparer sa défense. Sollicité vendredi par l’AFP, Apple a répondu rester «fidèles à (ses) principes pour protéger la vie privée des utilisateurs face aux entreprises consommatrices de données personnelles». «Nous considérons (...) qu’un utilisateur devrait toujours avoir la possibilité de choisir s’il souhaite partager ses données et avec qui», a ajouté l’entreprise. L’enquête initiale avait été lancée par la Cnil après une plainte de l’association France Digitale, qui fédère les start-up françaises et notamment des développeurs de logiciels distribués via le magasin d’applications du groupe américain. Le montant relativement limité de l’amende s’explique par le fait qu’Apple s’est mis en conformité rapidement pendant l’enquête de la Cnil, qui a eu lieu à la mi-2021. De plus, ces identifiants publicitaires ne permettaient à Apple de cibler les internautes que lorsqu’ils naviguaient sur le magasin d’applications mobiles (App Store), donc dans un champ bien borné. Enfin, l’autorité n’a pu sanctionner que les manquements en France. En mars dernier, Apple avait également écopé d’une amende de l’Autorité de la concurrence de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils. © Agence France-Presse
Paris - Le Conseil d'État a rejeté mercredi le recours d’Apple concernant une amende de 8 millions d’euros infligée fin 2022 par la Cnil pour avoir imposé des traceurs publicitaires à ses utilisateurs en France, sans consentement explicite de ceux-ci. Dans sa décision, consultée par l’AFP, la haute juridiction a estimé que la sanction du gendarme français des données personnelles n'était pas disproportionnée, considérant le nombre de personnes concernées (27,5 millions entre juillet 2020 et juillet 2021) ainsi que le chiffre d’affaires mondial du géant de la tech. Elle a également affirmé que les activités en France d’Apple justifiait la compétence de la Cnil dans ce domaine, et que l’entreprise avait bénéficié d’un temps suffisant pour préparer sa défense. Sollicité vendredi par l’AFP, Apple a répondu rester «fidèles à (ses) principes pour protéger la vie privée des utilisateurs face aux entreprises consommatrices de données personnelles». «Nous considérons (...) qu’un utilisateur devrait toujours avoir la possibilité de choisir s’il souhaite partager ses données et avec qui», a ajouté l’entreprise. L’enquête initiale avait été lancée par la Cnil après une plainte de l’association France Digitale, qui fédère les start-up françaises et notamment des développeurs de logiciels distribués via le magasin d’applications du groupe américain. Le montant relativement limité de l’amende s’explique par le fait qu’Apple s’est mis en conformité rapidement pendant l’enquête de la Cnil, qui a eu lieu à la mi-2021. De plus, ces identifiants publicitaires ne permettaient à Apple de cibler les internautes que lorsqu’ils naviguaient sur le magasin d’applications mobiles (App Store), donc dans un champ bien borné. Enfin, l’autorité n’a pu sanctionner que les manquements en France. En mars dernier, Apple avait également écopé d’une amende de l’Autorité de la concurrence de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils. © Agence France-Presse
Paris - Le Conseil d'État a rejeté mercredi le recours d’Apple concernant une amende de 8 millions d’euros infligée fin 2022 par la Cnil pour avoir imposé des traceurs publicitaires à ses utilisateurs en France, sans consentement explicite de ceux-ci. Dans sa décision, consultée par l’AFP, la haute juridiction a estimé que la sanction du gendarme français des données personnelles n'était pas disproportionnée, considérant le nombre de personnes concernées (27,5 millions entre juillet 2020 et juillet 2021) ainsi que le chiffre d’affaires mondial du géant de la tech. Elle a également affirmé que les activités en France d’Apple justifiait la compétence de la Cnil dans ce domaine, et que l’entreprise avait bénéficié d’un temps suffisant pour préparer sa défense. Sollicité vendredi par l’AFP, Apple a répondu rester «fidèles à (ses) principes pour protéger la vie privée des utilisateurs face aux entreprises consommatrices de données personnelles». «Nous considérons (...) qu’un utilisateur devrait toujours avoir la possibilité de choisir s’il souhaite partager ses données et avec qui», a ajouté l’entreprise. L’enquête initiale avait été lancée par la Cnil après une plainte de l’association France Digitale, qui fédère les start-up françaises et notamment des développeurs de logiciels distribués via le magasin d’applications du groupe américain. Le montant relativement limité de l’amende s’explique par le fait qu’Apple s’est mis en conformité rapidement pendant l’enquête de la Cnil, qui a eu lieu à la mi-2021. De plus, ces identifiants publicitaires ne permettaient à Apple de cibler les internautes que lorsqu’ils naviguaient sur le magasin d’applications mobiles (App Store), donc dans un champ bien borné. Enfin, l’autorité n’a pu sanctionner que les manquements en France. En mars dernier, Apple avait également écopé d’une amende de l’Autorité de la concurrence de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils. © Agence France-Presse
Paris - Le Conseil d'État a rejeté mercredi le recours d’Apple concernant une amende de 8 millions d’euros infligée fin 2022 par la Cnil pour avoir imposé des traceurs publicitaires à ses utilisateurs en France, sans consentement explicite de ceux-ci. Dans sa décision, consultée par l’AFP, la haute juridiction a estimé que la sanction du gendarme français des données personnelles n'était pas disproportionnée, considérant le nombre de personnes concernées (27,5 millions entre juillet 2020 et juillet 2021) ainsi que le chiffre d’affaires mondial du géant de la tech. Elle a également affirmé que les activités en France d’Apple justifiait la compétence de la Cnil dans ce domaine, et que l’entreprise avait bénéficié d’un temps suffisant pour préparer sa défense. Sollicité vendredi par l’AFP, Apple a répondu rester «fidèles à (ses) principes pour protéger la vie privée des utilisateurs face aux entreprises consommatrices de données personnelles». «Nous considérons (...) qu’un utilisateur devrait toujours avoir la possibilité de choisir s’il souhaite partager ses données et avec qui», a ajouté l’entreprise. L’enquête initiale avait été lancée par la Cnil après une plainte de l’association France Digitale, qui fédère les start-up françaises et notamment des développeurs de logiciels distribués via le magasin d’applications du groupe américain. Le montant relativement limité de l’amende s’explique par le fait qu’Apple s’est mis en conformité rapidement pendant l’enquête de la Cnil, qui a eu lieu à la mi-2021. De plus, ces identifiants publicitaires ne permettaient à Apple de cibler les internautes que lorsqu’ils naviguaient sur le magasin d’applications mobiles (App Store), donc dans un champ bien borné. Enfin, l’autorité n’a pu sanctionner que les manquements en France. En mars dernier, Apple avait également écopé d’une amende de l’Autorité de la concurrence de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils. © Agence France-Presse
Bleu-Blanc-Cœur, une démarche agricole issue de l’Économie Sociale et Solidaire, a fêté ses 25 ans. À cette occasion, ses représentants se sont réunis chez Thierry Marx, mercredi 15 octobre, pour rappeler la teneur de leurs actions.
Placé en redressement judiciaire depuis le 25 septembre dernier, le sous-traitant industriel ACI Groupe (150 millions d’euros de CA) entre dans une nouvelle étape. Les administrateurs judiciaires nommés par le tribunal de Lyon prennent désormais totalement la main sur le pilotage du groupe.
Placé en redressement judiciaire depuis le 25 septembre dernier, le sous-traitant industriel ACI Groupe (150 millions d’euros de CA) entre dans une nouvelle étape. Les administrateurs judiciaires nommés par le tribunal de Lyon prennent désormais la main sur le pilotage du groupe. Un manager de transition va être nommé.
Placé en redressement judiciaire depuis le 25 septembre dernier, le sous-traitant industriel ACI Groupe (150 millions d’euros de CA) entre dans une nouvelle étape. Les administrateurs judiciaires nommés par le tribunal de Lyon prennent désormais la main sur le pilotage du groupe. Un manager de transition va être nommé.
Grâce à un système de reconnaissance faciale, plusieurs outils en ligne proposent de retrouver le profil Tinder d'une autre personne, ainsi que sa localisation. Un dispositif loin d'être respectueux de la vie privée et qui peut surtout s'avérer dangereux.
C’est la France des cimes et des océans, le vendredi, avec Virginie Troussier. Aujourd’hui, nous faisons escale au Domaine du Rayol, dans le Var, l’artiste Marine Le Breton expose actuellement ses cartes du littoral français, toutes dessinées à la main.
Selon une information de France Inter, Patrick Boitelet, implanté depuis un an d'un cœur artificiel développé par la start-up française Carmat, a été greffé d'un cœur, jeudi. Il disait craindre la liquidation judiciaire de l'entreprise.
Un jeune homme de 21 ans a été renversé par une voiture à Saint-Cyprien village, dans les Pyrénées-Orientales, jeudi 16 octobre 2025. Il est décédé à l’hôpital de Perpignan dans la nuit.
Un jeune homme de 21 ans a été renversé par une voiture à Saint-Cyprien village, dans les Pyrénées-Orientales, jeudi 16 octobre 2025. Il est décédé à l’hôpital de Perpignan dans la nuit.
Un jeune homme de 21 ans a été renversé par une voiture à Saint-Cyprien village, dans les Pyrénées-Orientales, jeudi 16 octobre 2025. Il est décédé à l’hôpital de Perpignan dans la nuit.