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Drôme : la lutte contre le trafic de drogue et l’enrôlement des mineurs continue

Drôme : la lutte contre le trafic de drogue et l’enrôlement des mineurs continue

"Tu consommes, tu cautionnes". Voici le nom de la nouvelle campagne de communication contre le trafic de drogue et l’enrôlementdes mineurs dans la Drôme. Cette action a été lancée ce mercredi 15 octobre par la préfecture, sous l'égide de la préfète Marie-Aimée Gaspari. L'objectif principal de cette opération ? Dénoncer la responsabilité directe des consommateurs […] L’article Drôme : la lutte contre le trafic de drogue et l’enrôlement des mineurs continue est apparu en premier sur Lyon Capitale .

Kanchha Sherpa, le dernier survivant des pionniers de l'Everest, est décédé à 92 ans

Kanchha Sherpa, le dernier survivant des pionniers de l'Everest, est décédé à 92 ans

Katmandou - Il était le dernier survivant de l’expédition qui a mené pour la première fois l’homme au sommet de l’Everest en 1953. Héros célébré par toute la profession, le Népalais Kanchha Sherpa est décédé jeudi à l'âge de 92 ans. Son voyage vers la notoriété a débuté quand, adolescent, il a fui son village de Namche Bazar, aujourd’hui le plus grand pôle touristique sur la route du camp de base de l’Everest, et rejoint les montagnes de Darjeeling. Le jeune homme de 19 ans retrouve dans la ville indienne, à l'époque point de départ des expéditions himalayennes, son compatriote Tenzing Norgay Sherpa, qui l’emploie comme homme à tout faire. Quelques mois plus tard, il le retrouve au Népal, enrôlé dans l’expédition emmenée par le Néo-Zélandais Edmund Hillary en échange de quelques roupies (quelques centimes d’euros). Réunis à Katmandou, les grimpeurs gagnent le camp de base au prix de plusieurs jours de marche, faute de route praticable ou de liaison aérienne. Aujourd’hui, les alpinistes suivent un itinéraire tout tracé par des guides népalais. Sans avoir jamais été entraîné à l’alpinisme, Kanchha Sherpa est monté à plus de 8.000 m d’altitude sur l’Everest. Lors d’un échange il y a deux ans avec l’AFP, le nonagénaire, fatigué, s’est dit «le plus heureux (des hommes), quand Tenzing et Hillary ont atteint le sommet», a-t-il affirmé, cité par son petit-fils Tenzing Chogyal Sherpa. Avec des vêtements trop grands pour eux, le dos chargé des tentes, du matériel et des vivres, les sherpas népalais grimpaient alors les pentes de la montagne en chantant, s'était-il souvenu. «Gagner sa vie» Sept décennies plus tard, des centaines de personnes atteignent chaque année le sommet de l’Everest (8.849 m) et des milliers d’autres voyagent au Népal pour admirer les sites himalayens. L’industrie de l’alpinisme, pesant aujourd’hui plusieurs millions de dollars, repose sur l’expérience des «sherpas», qui paient chaque année un lourd tribut pour accompagner des centaines d’alpinistes au sommet. Un tiers des morts dans l’Everest sont des grimpeurs népalais. «Tenzing et Hillary nous ont ouvert les yeux et rendu le développement possible ici», avait déclaré Kanchha Sherpa à la chaîne locale YOHO TV en 2019, «la vie était très dure avant. Il n’y avait aucun moyen de gagner sa vie». Témoin direct de la transformation de la région de l’Everest, Kanchha Sherpa a continué ses ascensions pendant deux décennies, jusqu'à ce que sa femme lui demande d’arrêter ses dangereux périples. L'éducation des enfants sherpas est le bénéfice le plus significatif, a souligné l’ancien alpiniste. «Ils ont désormais la possibilité d'étudier et peuvent devenir ce qu’ils veulent, médecin, ingénieur ou scientifique comme mon petit-fils», avait-il poursuivi. «Je n’aurais jamais imaginé qu’une telle chose soit possible de mon temps», avait ajouté le montagnard. Après avoir quitté les sommets, Kanchha Sherpa a créé une fondation à son nom, dédiée à l’aide aux familles qui n’ont pas les moyens d’envoyer leurs enfants à l'école. Pendant ses derniers jours, il redoutait que «la jeunesse soit influencée par la culture occidentale et oublie lentement la culture et la langue sherpa». © Agence France-Presse

Bébé décédé en Loire-Atlantique : le maire n’était pas informé, il demande un dispositif d’échanges

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Dans le drame du bébé décédé à 8 mois à Châteaubriant (Loire-Atlantique), le maire divers droite Alain Hunault soutient qu’il n’était pas au courant de ce que vivait la famille recomposée de cinq enfants. Il veut organiser « une réunion d’échanges », lundi 20 octobre, afin de revoir la circulation de l’information sur les dossiers sensibles.

« Ça devient un vrai business » : à La Réunion, certains regrettent l’essor de la Diagonale des fous

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Chaque année, des grands noms du trail et leurs sponsors arrivent sur l’île de l’océan indien pour le plus grand événement sportif mais aussi économique du territoire, le Grand Raid. Les coureurs s’élanceront ce jeudi 16 octobre 2025. Si les retombées sont importantes pour les acteurs locaux, certains coureurs regrettent la dimension « commerciale » que prend l’événement.

«CDI sénior» : quel est ce nouveau contrat, dont la création vient d'être définitivement approuvée par le Parlement ?

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La création d'un «CDI senior» a été définitvement approuvé par le Parlement. Il s'adresse aux demandeurs d'emploi d'au moins 60 ans, voire dès 57 ans en cas d'accord de branche. Pour faciliter l'embauche des plus de 60 ans, le Parlement a approuvé la création d'un nouveau «contrat de valorisation de l'expérience» (CVE). Surnommé «CDI senior», il a été validé à titre expérimental. Cette mesure fait partie d'un texte plus large adopté au Sénat avant la pause estivale et définitivement approuvé mercredi à l'Assemblée nationale, par 143 voix contre 25, ces dernières étant toutes issues de La France insoumise (LFI). Le groupe, qui voit ce nouveau contrat comme un «cadeau au patronat» et «une nouvelle exonération de cotisations» avait déjà indiqué ne pas souhaiter participer à ce qu'elle décrit comme le «réenchantement de la mise au travail forcée de nos aînés». ✅ Adoption définitive du projet de loi sur l’emploi des ...