Billet. L’adolescence, c’est dans la tête
Ainsi donc, l’adolescence durerait plus longtemps que prévu.
Ainsi donc, l’adolescence durerait plus longtemps que prévu.
Joao Faria et Tom Zangla-Delorme ont équipé leurs voitures de guirlandes lumineuses pour les fêtes de fin d’année. Dans les rues de Vienne, ils ne passent pas inaperçu et font le bonheur des petits et des grands.
Les pilotes et copilotes haut-alpins Damien Oberti, Loris Pascaud, Simon Escallier, Yannick Roche et Yanis Gosselin saluent le neuvième titre mondial de Sébastien Ogier acquis samedi en Arabie saoudite.
Ainsi donc, l’adolescence durerait plus longtemps que prévu.
Joao Faria et Tom Zangla-Delorme ont équipé leurs voitures de guirlandes lumineuses pour les fêtes de fin d’année. Dans les rues de Vienne, ils ne passent pas inaperçu et font le bonheur des petits et des grands.
Les pilotes et copilotes haut-alpins Damien Oberti, Loris Pascaud, Simon Escallier, Yannick Roche et Yanis Gosselin saluent le neuvième titre mondial de Sébastien Ogier acquis samedi en Arabie saoudite.
« Une société se juge à l’état de ses prisons ». La célèbre formule d’Albert Camus n’a jamais trouvé autant son sens que par les temps qui courent. Si les établissements pénitentiaires sont placés régulièrement sous les feux de l’actualité, c’est qu’ils révèlent les fractures et les dérives d’une société qui, parfois, préférerait détourner le regard. Les événements récents liés à l’emprise croissante du narcotrafic sur le tissu sociétal entrent en résonance de façon extrêmement inquiétante avec un phénomène dont la dimension exacte est difficile à évaluer : celui de la corruption dans les prisons. Témoignages exclusifs, reportages, interviews... Retrouvez la nouvelle enquête du Dauphiné Libéré
Le bal des promotions annuel a débuté officiellement ce vendredi. Une période cruciale pour certains commerçants grenoblois profitant du Black friday pour redynamiser leurs ventes dans un centre-ville trop souvent désertique.
« Une société se juge à l’état de ses prisons ». La célèbre formule d’Albert Camus n’a jamais trouvé autant son sens que par les temps qui courent. Si les établissements pénitentiaires sont placés régulièrement sous les feux de l’actualité, c’est qu’ils révèlent les fractures et les dérives d’une société qui, parfois, préférerait détourner le regard. Les événements récents liés à l’emprise croissante du narcotrafic sur le tissu sociétal entrent en résonance de façon extrêmement inquiétante avec un phénomène dont la dimension exacte est difficile à évaluer : celui de la corruption dans les prisons. Témoignages exclusifs, reportages, interviews... Retrouvez la nouvelle enquête du Dauphiné Libéré
Le bal des promotions annuel a débuté officiellement ce vendredi. Une période cruciale pour certains commerçants grenoblois profitant du Black friday pour redynamiser leurs ventes dans un centre-ville trop souvent désertique.
Des élections présidentielle, législatives et municipales sont organisées dimanche dans le pays d’Amérique centrale. La présidente sortante a consacré l’essentiel de son mandat à la lutte contre l’insécurité. Donald Trump a appelé les électeurs à voter pour le candidat de droite.
Le président du MoDem va tenter de se faire réélire pour un troisième mandat de maire, lors des municipales de 2026, malgré les remous locaux de l’affaire de Bétharram et son échec à Matignon. Il continue de consulter et de penser à l’après.
Une journée dans la peau d’un personnage, à résoudre des énigmes et à ferrailler, telle est la promesse de ces réunions, qui séduisent des joueurs à la recherche d’une immersion toujours plus aboutie.
Contre le constat longtemps admis de la modernité comme sortie des religions, une radicalisation et une « déprivatisation » de la foi à l’échelle mondiale s’observent aujourd’hui, selon le sociologue Alain Dieckhoff, directeur d’un ouvrage collectif sur ce phénomène.
Bassem Khandaqji, 42 ans, et Nasser Abu Srour, 56 ans, ont passé plus de la moitié de leur vie en détention dans les prisons israéliennes. C’est là qu’ils se sont initiés à l’écriture et y ont trouvé un salut. Relâchés le 13 octobre dans le cadre du plan Trump pour Gaza, ils ont été condamnés à l’exil et sont aujourd’hui retenus au Caire, faute de passeport. Leurs premiers pas d’hommes libres ont un goût amer.
Dans une tribune au « Monde », la professeure de criminologie appelle à croiser les informations du casier judiciaire avec celles d’autres administrations, sous contrôle strict et uniquement à des fins de recherche. Selon elle, cela permettra de mieux cerner les causes de la délinquance et de prévenir la récidive, afin de sortir d’une logique répressive.