Le ministre du Travail a estimé vendredi 28 novembre qu’«un chemin permettra d’avoir un vote» pour le budget de la Sécurité sociale, considérant que «de plus en plus de parlementaires ont envie de converger» et ne se prononçant pas sur un éventuel 49.3.→

Le ministre du Travail a estimé vendredi 28 novembre qu’«un chemin permettra d’avoir un vote» pour le budget de la Sécurité sociale, considérant que «de plus en plus de parlementaires ont envie de converger» et ne se prononçant pas sur un éventuel 49.3.→

Le ministre du Travail a estimé vendredi 28 novembre qu’«un chemin permettra d’avoir un vote» pour le budget de la Sécurité sociale, considérant que «de plus en plus de parlementaires ont envie de converger» et ne se prononçant pas sur un éventuel 49.3.→

Héritage : mode d’emploi d’un sujet explosif

Héritage : mode d’emploi d’un sujet explosif

D’ici quinze ans, près de 9 000 milliards d’euros passeront d’une génération à l’autre. Entre règles complexes, stratégies familiales et débats sur la fiscalité, comprendre comment se transmettent les fortunes, grandes ou modestes, devient essentiel. Lyon Capitale fait le point en six questions. Les superlatifs ne suffisent plus. C’est un Everest fiscal qui s’annonce. D’ici […] L’article <img class='abo' src='https://www.lyoncapitale.fr/wp-content/plugins/fiducialmedias-core/images/lyoncap/logoabo.png' alt='Article payant' width='27px' height='27px'/> Héritage : mode d’emploi d’un sujet explosif est apparu en premier sur Lyon Capitale .

Justice. Décision dans le procès de la sextape : relaxe ou prison pour Perdriau ?

Justice. Décision dans le procès de la sextape : relaxe ou prison pour Perdriau ?

Peu de suspense pour Pierre Gauttieri, Gilles Rossary-Lenglet et Samy Kéfi-Jérôme : ils ont reconnu leur implication, ils devraient être condamnés. Mais Gaël Perdriau, qui a toujours nié ? « So it vous le déclarerez innocent et c’est une relaxe, soit vous considérez comme moi que les preuves de sa culpabilité sont établies » a résumé la procureure. Ce lundi, pour le maire de Saint-Etienne, c’est tout ou rien…

France: après le rejet du budget de la Sécurité sociale, une nouvelle «loi spéciale» en ligne de mire?

France: après le rejet du budget de la Sécurité sociale, une nouvelle «loi spéciale» en ligne de mire?

En France, après le rejet historique du budget de l’État dans la nuit du 21 au 22 novembre, c’est désormais le projet de budget de la Sécurité sociale – et donc celui de la santé – qui vient à son tour d’être retoqué. Samedi 29 novembre au soir, la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale a repoussé le texte en nouvelle lecture, plongeant un peu plus le gouvernement Lecornu dans l’incertitude.

France: après le rejet du budget de la Sécurité sociale, une nouvelle «loi spéciale» en ligne de mire?

France: après le rejet du budget de la Sécurité sociale, une nouvelle «loi spéciale» en ligne de mire?

En France, après le rejet historique du budget de l’État dans la nuit du 21 au 22 novembre, c’est désormais le projet de budget de la Sécurité sociale – et donc celui de la santé – qui vient à son tour d’être retoqué. Samedi 29 novembre au soir, la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale a repoussé le texte en nouvelle lecture, plongeant un peu plus le gouvernement Lecornu dans l’incertitude.

«Une machine de guerre contre le pluralisme» : Robert Ménard étrille la ligne actuelle de RSF, qu'il a cofondé

«Une machine de guerre contre le pluralisme» : Robert Ménard étrille la ligne actuelle de RSF, qu'il a cofondé

L'actuel maire de Béziers, Robert Ménard, a regretté, ce dimanche, le chemin pris par l’ONG qu'il a cofondée, devenue, selon lui, «une machine de guerre contre le pluralisme». Il ne la reconnaît plus. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, Robert Ménard a dénoncé la ligne prise récemment par l’ONG Reporters sans frontières, qu’il a lui-même co-fondée en 1985 et quitté en 2008. L’ancien journaliste et actuel maire de Béziers dans l’Hérault a considéré que «RSF» n’était «plus une organisation de défense», mais plutôt «le juge des élégances». «A l’époque, on se battait pour sortir des journalistes de prison, lever la censure dans des pays où un article pouvait vous envoyer au cachot, protéger des reporters menacés ou assassinés. Aujourd’hui, ils décident ce qui serait de l’information ou non», a-t-il dénoncé. «J’ai honte» Mercredi dernier, Reporters sans frontières a accusé CNEWS de «tricher» avec les règles de l'équilibre politique ...