
DIRECT VIDEO - Cormerais Paul-Adrien, cofondateur et directeur général de Pony
Il fait le pari du "made in France" pour ses vélos : suivez l'interview de Paul-Adrien Cormerais, directeur général de Pony est l'invité de Good Morning Business
Il fait le pari du "made in France" pour ses vélos : suivez l'interview de Paul-Adrien Cormerais, directeur général de Pony est l'invité de Good Morning Business
Christophe Galfard, physicien, producteur de l’émission Big Bang le samedi sur France Inter. Auteur de “La Vie à portée de main” (Albin Michel).
Le quinté de ce vendredi 17 octobre se dispute à Paris-Vincennes dans la quatrième course à 20h15. L’épreuve est réservée aux juments de 4 et 5 ans sur les 2700 mètres de la grande piste. Cette course semble relativement facile à déchiffrer, quelques valeurs sûres devraient être au rendez-vous.
C'est l'heure du verdict au procès de Cédric Jubillar. Il est jugé depuis trois semaines pour le meurtre de Delphine, sa femme, disparue en 2020 et jamais retrouvée depuis. Il sera fixé sur son sort ce vendredi.
Chaque matin à 7h10, retrouvez BFM éco présenté par Emmanuel Lechypre.
Pékin utilise une règle d’extraterritorialité tirée de l’arsenal américain pour inverser le rapport de force avec les États-Unis, à deux semaines d’un sommet Xi Jinping-Donald Trump. C’est un coup de tonnerre dans l’économie mondiale, dont le reste du monde est aussi la victime.
Bonjour Littoral présentée par Adrien Lanoy, c’est le rendez-vous info en direct pour démarrer la journée avec un tour de l’actualité locale, la météo, les conditions de circulation et un journal dédié à la métropole. Au sommaire : L'eau du robinet polluée dans la région. Un membre du gang de Roubaix devant la justice. Douai, portrait de la première femme carillonneuse.
L'automne est la saison idéale pour cueillir des champignons. Mais chaque année, il y a de plus en plus d'intoxication, surtout au mois d'octobre. Le docteur Vincent Valinducq nous parle des précautions à prendre avant de partir à la cueillette.
Après quatre semaines, le procès de Cédric Jubillar, accusé du meurtre de sa femme Delphine, arrive à son terme. Ce vendredi 17 octobre 2025 marque la dernière prise de parole de Cédric Jubillar et le jour du verdict....
Londres - Les pays membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) se prononcent vendredi à Londres sur l’adoption d’un plan ambitieux visant à réduire la pollution des navires marchands, mais les Etats-Unis oeuvrent pour faire basculer le vote. L’adoption de ce texte, déjà approuvé en principe en avril, permettrait au secteur, extrêmement polluant, d’opérer un virage climatique historique en contraignant les navires à réduire progressivement leurs émissions dès 2028, jusqu'à décarbonation totale vers 2050. Le système envisagé «n’est pas parfait», a reconnu Arsenio Dominguez, le secrétaire général de l’OMI, à l’ouverture du sommet de son organisation mardi. Mais «il fournit une base équilibrée.» Il vise à faire payer aux bateaux une sorte de taxe sur leurs émissions au-delà d’un certain seuil, en vue d’alimenter un fonds récompensant les navires à faibles émissions et soutenant les pays vulnérables au changement climatique. Mesures de rétorsions Les pays de l’Union européenne, le Brésil, la Chine, notamment, ont réitéré cette semaine leur soutien à l’adoption de ce «cadre net-zéro» (appelé aussi NZF). Les Etats insulaires du Pacifique, qui s'étaient abstenus en avril, jugeant la mesure insuffisante, ont finalement indiqué qu’ils étaient favorables à son adoption. Mais l’opposition est forte du côté des Etats-Unis, de l’Arabie saoudite, de la Russie et de nombreux autres pays producteurs de pétrole. Donald Trump a appelé à voter contre ce plan dans un nouveau message sur X jeudi. «Les États-Unis ne toléreront PAS cette arnaque verte mondiale sous forme de taxe sur le transport maritime et ne s’y conformeront d’aucune manière», a-t-il affirmé. «Nous ne tolérerons pas d’augmentation des prix pour les consommateurs américains NI la création d’une bureaucratie verte pour dépenser VOTRE argent dans leurs rêves écologiques», a poursuivi le président américain. Les Etats-Unis vont jusqu'à menacer les délégations qui voteraient pour le projet, avec des restrictions de visas pour les membres de leurs équipages, «des pénalités commerciales» ou «des frais portuaires supplémentaires». Les pressions américaines pourraient affecter des «pays malheureusement plus sensibles à l’influence américaine et qui seraient touchés par ces rétorsions», a reconnu une source européenne auprès de l’AFP. Coup de théâtre L’Argentine, qui s'était abstenue en avril, devrait ainsi s’opposer au NZF. D’autres pays comme les Philippines qui fournissent le premier contingent mondial de travailleurs du secteur, ou les îles des Caraïbes, dépendantes économiquement des croisières américaines, pourraient aussi faire évoluer leur position. Le vote pourrait donc être très serré, d’autant que les Etats-Unis ont préconisé cette semaine, dans un dernier coup de théâtre, de changer ses modalités afin de le faire capoter. Les nouvelles réglementations de l’OMI sont habituellement considérées comme acceptées sauf si un tiers de ses 176 membres (ou alors l'équivalent de la moitié de la flotte marchande mondiale) déclare s’y opposer - un processus connu sous le nom d’"acceptation tacite». Washington propose pour sa part une «acceptation explicite», qui inverserait les rôles et nécessiterait que deux tiers des nations optent officiellement pour l’adoption. Ce changement de procédure, dans laquelle pèsent les abstentionnistes, doit être examiné vendredi par l’OMI. Les principales associations et organisations maritimes se sont pour leur part déclarées favorables à l’adoption du NZF, dans un souci de lisibilité réglementaire. Pol-Malo LE BRIS © Agence France-Presse
Londres - Les pays membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) se prononcent vendredi à Londres sur l’adoption d’un plan ambitieux visant à réduire la pollution des navires marchands, mais les Etats-Unis oeuvrent pour faire basculer le vote. L’adoption de ce texte, déjà approuvé en principe en avril, permettrait au secteur, extrêmement polluant, d’opérer un virage climatique historique en contraignant les navires à réduire progressivement leurs émissions dès 2028, jusqu'à décarbonation totale vers 2050. Le système envisagé «n’est pas parfait», a reconnu Arsenio Dominguez, le secrétaire général de l’OMI, à l’ouverture du sommet de son organisation mardi. Mais «il fournit une base équilibrée.» Il vise à faire payer aux bateaux une sorte de taxe sur leurs émissions au-delà d’un certain seuil, en vue d’alimenter un fonds récompensant les navires à faibles émissions et soutenant les pays vulnérables au changement climatique. Mesures de rétorsions Les pays de l’Union européenne, le Brésil, la Chine, notamment, ont réitéré cette semaine leur soutien à l’adoption de ce «cadre net-zéro» (appelé aussi NZF). Les Etats insulaires du Pacifique, qui s'étaient abstenus en avril, jugeant la mesure insuffisante, ont finalement indiqué qu’ils étaient favorables à son adoption. Mais l’opposition est forte du côté des Etats-Unis, de l’Arabie saoudite, de la Russie et de nombreux autres pays producteurs de pétrole. Donald Trump a appelé à voter contre ce plan dans un nouveau message sur X jeudi. «Les États-Unis ne toléreront PAS cette arnaque verte mondiale sous forme de taxe sur le transport maritime et ne s’y conformeront d’aucune manière», a-t-il affirmé. «Nous ne tolérerons pas d’augmentation des prix pour les consommateurs américains NI la création d’une bureaucratie verte pour dépenser VOTRE argent dans leurs rêves écologiques», a poursuivi le président américain. Les Etats-Unis vont jusqu'à menacer les délégations qui voteraient pour le projet, avec des restrictions de visas pour les membres de leurs équipages, «des pénalités commerciales» ou «des frais portuaires supplémentaires». Les pressions américaines pourraient affecter des «pays malheureusement plus sensibles à l’influence américaine et qui seraient touchés par ces rétorsions», a reconnu une source européenne auprès de l’AFP. Coup de théâtre L’Argentine, qui s'était abstenue en avril, devrait ainsi s’opposer au NZF. D’autres pays comme les Philippines qui fournissent le premier contingent mondial de travailleurs du secteur, ou les îles des Caraïbes, dépendantes économiquement des croisières américaines, pourraient aussi faire évoluer leur position. Le vote pourrait donc être très serré, d’autant que les Etats-Unis ont préconisé cette semaine, dans un dernier coup de théâtre, de changer ses modalités afin de le faire capoter. Les nouvelles réglementations de l’OMI sont habituellement considérées comme acceptées sauf si un tiers de ses 176 membres (ou alors l'équivalent de la moitié de la flotte marchande mondiale) déclare s’y opposer - un processus connu sous le nom d’"acceptation tacite». Washington propose pour sa part une «acceptation explicite», qui inverserait les rôles et nécessiterait que deux tiers des nations optent officiellement pour l’adoption. Ce changement de procédure, dans laquelle pèsent les abstentionnistes, doit être examiné vendredi par l’OMI. Les principales associations et organisations maritimes se sont pour leur part déclarées favorables à l’adoption du NZF, dans un souci de lisibilité réglementaire. Pol-Malo LE BRIS © Agence France-Presse
Londres - Les pays membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) se prononcent vendredi à Londres sur l’adoption d’un plan ambitieux visant à réduire la pollution des navires marchands, mais les Etats-Unis oeuvrent pour faire basculer le vote. L’adoption de ce texte, déjà approuvé en principe en avril, permettrait au secteur, extrêmement polluant, d’opérer un virage climatique historique en contraignant les navires à réduire progressivement leurs émissions dès 2028, jusqu'à décarbonation totale vers 2050. Le système envisagé «n’est pas parfait», a reconnu Arsenio Dominguez, le secrétaire général de l’OMI, à l’ouverture du sommet de son organisation mardi. Mais «il fournit une base équilibrée.» Il vise à faire payer aux bateaux une sorte de taxe sur leurs émissions au-delà d’un certain seuil, en vue d’alimenter un fonds récompensant les navires à faibles émissions et soutenant les pays vulnérables au changement climatique. Mesures de rétorsions Les pays de l’Union européenne, le Brésil, la Chine, notamment, ont réitéré cette semaine leur soutien à l’adoption de ce «cadre net-zéro» (appelé aussi NZF). Les Etats insulaires du Pacifique, qui s'étaient abstenus en avril, jugeant la mesure insuffisante, ont finalement indiqué qu’ils étaient favorables à son adoption. Mais l’opposition est forte du côté des Etats-Unis, de l’Arabie saoudite, de la Russie et de nombreux autres pays producteurs de pétrole. Donald Trump a appelé à voter contre ce plan dans un nouveau message sur X jeudi. «Les États-Unis ne toléreront PAS cette arnaque verte mondiale sous forme de taxe sur le transport maritime et ne s’y conformeront d’aucune manière», a-t-il affirmé. «Nous ne tolérerons pas d’augmentation des prix pour les consommateurs américains NI la création d’une bureaucratie verte pour dépenser VOTRE argent dans leurs rêves écologiques», a poursuivi le président américain. Les Etats-Unis vont jusqu'à menacer les délégations qui voteraient pour le projet, avec des restrictions de visas pour les membres de leurs équipages, «des pénalités commerciales» ou «des frais portuaires supplémentaires». Les pressions américaines pourraient affecter des «pays malheureusement plus sensibles à l’influence américaine et qui seraient touchés par ces rétorsions», a reconnu une source européenne auprès de l’AFP. Coup de théâtre L’Argentine, qui s'était abstenue en avril, devrait ainsi s’opposer au NZF. D’autres pays comme les Philippines qui fournissent le premier contingent mondial de travailleurs du secteur, ou les îles des Caraïbes, dépendantes économiquement des croisières américaines, pourraient aussi faire évoluer leur position. Le vote pourrait donc être très serré, d’autant que les Etats-Unis ont préconisé cette semaine, dans un dernier coup de théâtre, de changer ses modalités afin de le faire capoter. Les nouvelles réglementations de l’OMI sont habituellement considérées comme acceptées sauf si un tiers de ses 176 membres (ou alors l'équivalent de la moitié de la flotte marchande mondiale) déclare s’y opposer - un processus connu sous le nom d’"acceptation tacite». Washington propose pour sa part une «acceptation explicite», qui inverserait les rôles et nécessiterait que deux tiers des nations optent officiellement pour l’adoption. Ce changement de procédure, dans laquelle pèsent les abstentionnistes, doit être examiné vendredi par l’OMI. Les principales associations et organisations maritimes se sont pour leur part déclarées favorables à l’adoption du NZF, dans un souci de lisibilité réglementaire. Pol-Malo LE BRIS © Agence France-Presse
Londres - Les pays membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) se prononcent vendredi à Londres sur l’adoption d’un plan ambitieux visant à réduire la pollution des navires marchands, mais les Etats-Unis oeuvrent pour faire basculer le vote. L’adoption de ce texte, déjà approuvé en principe en avril, permettrait au secteur, extrêmement polluant, d’opérer un virage climatique historique en contraignant les navires à réduire progressivement leurs émissions dès 2028, jusqu'à décarbonation totale vers 2050. Le système envisagé «n’est pas parfait», a reconnu Arsenio Dominguez, le secrétaire général de l’OMI, à l’ouverture du sommet de son organisation mardi. Mais «il fournit une base équilibrée.» Il vise à faire payer aux bateaux une sorte de taxe sur leurs émissions au-delà d’un certain seuil, en vue d’alimenter un fonds récompensant les navires à faibles émissions et soutenant les pays vulnérables au changement climatique. Mesures de rétorsions Les pays de l’Union européenne, le Brésil, la Chine, notamment, ont réitéré cette semaine leur soutien à l’adoption de ce «cadre net-zéro» (appelé aussi NZF). Les Etats insulaires du Pacifique, qui s'étaient abstenus en avril, jugeant la mesure insuffisante, ont finalement indiqué qu’ils étaient favorables à son adoption. Mais l’opposition est forte du côté des Etats-Unis, de l’Arabie saoudite, de la Russie et de nombreux autres pays producteurs de pétrole. Donald Trump a appelé à voter contre ce plan dans un nouveau message sur X jeudi. «Les États-Unis ne toléreront PAS cette arnaque verte mondiale sous forme de taxe sur le transport maritime et ne s’y conformeront d’aucune manière», a-t-il affirmé. «Nous ne tolérerons pas d’augmentation des prix pour les consommateurs américains NI la création d’une bureaucratie verte pour dépenser VOTRE argent dans leurs rêves écologiques», a poursuivi le président américain. Les Etats-Unis vont jusqu'à menacer les délégations qui voteraient pour le projet, avec des restrictions de visas pour les membres de leurs équipages, «des pénalités commerciales» ou «des frais portuaires supplémentaires». Les pressions américaines pourraient affecter des «pays malheureusement plus sensibles à l’influence américaine et qui seraient touchés par ces rétorsions», a reconnu une source européenne auprès de l’AFP. Coup de théâtre L’Argentine, qui s'était abstenue en avril, devrait ainsi s’opposer au NZF. D’autres pays comme les Philippines qui fournissent le premier contingent mondial de travailleurs du secteur, ou les îles des Caraïbes, dépendantes économiquement des croisières américaines, pourraient aussi faire évoluer leur position. Le vote pourrait donc être très serré, d’autant que les Etats-Unis ont préconisé cette semaine, dans un dernier coup de théâtre, de changer ses modalités afin de le faire capoter. Les nouvelles réglementations de l’OMI sont habituellement considérées comme acceptées sauf si un tiers de ses 176 membres (ou alors l'équivalent de la moitié de la flotte marchande mondiale) déclare s’y opposer - un processus connu sous le nom d’"acceptation tacite». Washington propose pour sa part une «acceptation explicite», qui inverserait les rôles et nécessiterait que deux tiers des nations optent officiellement pour l’adoption. Ce changement de procédure, dans laquelle pèsent les abstentionnistes, doit être examiné vendredi par l’OMI. Les principales associations et organisations maritimes se sont pour leur part déclarées favorables à l’adoption du NZF, dans un souci de lisibilité réglementaire. Pol-Malo LE BRIS © Agence France-Presse
Mario Aparicio a été exclu du Tour de Mentougou, expulsé de Chine et banni à vie du pays asiatique après une publication controversée sur son compte Strava. Le coureur espagnol a placé un emoji cochon à côté du drapeau chinois, et ce qui devait être une blague entre coéquipiers, a déclenché une véritable polémique.
Raphaël Maillochon revient sur l’affaire Lola, une fillette de douze ans retrouvée morte dans une malle il y a trois ans. Le procès de l’accusée s’ouvre ce vendredi. Il s’agit d’une jeune femme de 27 ans qui n’a pas été déclarée irresponsable.
Michel Cymes, ex-médecin star du petit écran, monte sur les planches dans Secret(s) médical, une comédie qu’il coécrit et interprète au théâtre Saint-Georges à Paris. Retraité depuis trois ans, il y incarne à contre...