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Gaza - Les Palestiniens rentrés chez eux à Gaza-ville après le cessez-le-feu n’ont trouvé que des décombres à la place de leurs maisons. Ils tentent de mettre en place des abris de fortune en utilisant tout ce qu’ils peuvent trouver parmi les débris. Dans le nord-ouest de la ville située dans le nord du territoire palestinien ravagé par deux ans de guerre entre Israël et le Hamas, les rues quasi-désertes entourent des immeubles détruits. Certains sont complètement effondrés, d’autres tiennent encore debout mais sont très endommagés, selon des images aériennes filmées par l’AFP. Hossam Majed, 31 ans, a retrouvé sa maison entièrement rasée. Dans les ruines de l’immeuble de plusieurs étages, le trentenaire a quand même réussi à rassembler quelques affaires, dont des meubles. En attendant le retour des autres occupants de l’immeuble, il prépare les lieux en mettant en place un abri de fortune. Avec ses frères, il protège ce qu’il reste d'éventuels pillards. «Même la nourriture est plus chère que dans le sud (du territoire) parce qu’elle est rare. Il n’y a pas d'électricité, pas d’eau, pas d’internet. Je dois marcher un kilomètre et demi juste pour remplir deux bidons d’eau», dit-il. «Nous dormons dans la rue» Oum Rami Loubbad, mère de trois enfants âgée de 46 ans, a quitté en septembre sa maison déjà partiellement détruite, pour se réfugier à Khan Younès (sud). Elle espérait la retrouver dans le même état. «C'était le seul espoir restant pour un peu de stabilité — et ils l’ont complètement détruite», dit-elle avec émotion. «Nous dormons dans la rue. Je n’ai pas de tente», lâche-t-elle en espérant que des tentes seront distribuées. Le retour a été un choc avec toutes ces destructions dans la ville, où l’armée israélienne avait, avant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu le 10 octobre, concentré ses bombardements pour chasser le Hamas, auteur de l’attaque du 7 octobre 2023 contre Israël. «Je regardais aussi loin que je pouvais, et je ne voyais rien!», dit Oum Rami Loubbad. Elle a récupéré ce qu’elle pouvait, des morceaux de meubles en bois, des vêtements et une bouteille de gaz. «Nous allons vendre le plastique que nous trouvons et utiliser le bois pour faire la cuisine ou pour construire des toilettes», ajoute-t-elle. «Je ne sais pas combien de temps on va pouvoir supporter cela.» Ahmad Al-Abbassi, réfugié dans le sud pendant les bombardements, a retrouvé l’emplacement de son immeuble de cinq étages à Gaza-ville. Mais il n’en reste plus rien. «Nous sommes retournés dans le nord en espérant retrouver nos maisons et (reconstruire notre) vie. Comme vous pouvez le voir, Gaza s’est transformée en une ville fantôme», dit-il. «Marcher sur la maison» Sur les ruines, Ahmad Al-Abbassi tente d'ériger une tente de fortune, auprès d’un drapeau palestinien qui flotte au bout d’un piquet. Avec le couvercle d’un fait-tout, il gratte le sol pour l’aplanir. Puis, il empile quelques parpaings pour y planter des fers à béton et soutenir une toile censée faire office de toit. Le vent s’en mêle et secoue la toile, ainsi que le drapeau. «Nous essayons de récupérer tout ce que nous pouvons. Nous allons essayer de reconstruire juste pour avoir une pièce pour abriter nos enfants et nos familles», dit-il. Moustafa Mahram, de retour chez lui avec sa famille, a trouvé sa maison de trois étages «réduite en cendres». «Tout est parti. Aujourd’hui, quand nous marchons, nous marchons littéralement dessus. Il n’y a aucun moyen d’y vivre.» Il a installé une tente près des décombres. «On a été jeté à la rue.» Le Palestinien décrit le quotidien des habitants rentrés à Gaza-ville: «il n’y a pas d’eau — pas d’eau potable, même pas d’eau salée, pas d’eau du tout. Aucun élément essentiel de la vie n’est disponible —pas de nourriture, pas de quoi boire, rien. Et comme vous pouvez le voir, il ne reste que des décombres». «Il n’y a pas d'électricité, même pas de routes praticables pour marcher comme des êtres humains.» © Agence France-Presse
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Ce mardi 16 octobre, deux hommes de 26 et 27 ans, devaient s’expliquer sur les violences en marge de la Fête de la musique à Villeneuve-sur-Lot, le 21 juin dernier